La Fédération des maisons de repos, Femarbel, met les politiques en garde
Comme depuis quelques jours, le nombre de contaminations quotidiennes progresse encore et toujours. La moyenne des cas positifs a ainsi progressé de 9 % entre le 7 et le 13 décembre par rapport à la période de sept jours précédente, pour atteindre 2.368 par jour, selon les données publiées jeudi matin par l’institut de santé publique Sciensano. Il est à noter que le nombre de tests journaliers est de plus en plus important.
Plus de 33.400 tests ont ainsi été effectués quotidiennement durant la même période, un chiffre en hausse de 12 %, avec un taux de positivité de 8,1 %.
Lundi et mardi, des augmentations de 3 et 6 % des contaminations avaient été signalées, puis 8 % mercredi. Au total, la Belgique comptabilise plus de 615.000 cas positifs depuis le début de la crise, contre près de 611.500 dans le bilan de mercredi matin.
Le nombre moyen d’admissions à l’hôpital a, quant à lui, diminué de 2 %, à 183 hospitalisations par jour (45.498 comptabiliées au total), et celui des décès a diminué de 6,9 % (là où le recul était de 12,7 % dans le bilan de mercredi), s’établissant à 92 par jour. Le nombre de morts depuis le mois de mars est désormais de 18.278, soit 100 de plus que la veille.
Quelque 2.712 personnes étaient encore hospitalisées mercredi, un recul de 2 %, pour 2.770 dans ce cas mardi. Parmi elles, 571 se trouvaient aux soins intensifs (-4 %).
Enfin, le taux de reproduction (Rt) est de 0,99, tandis que l’incidence, qui rend compte du nombre de nouveaux cas par tranche de 100.000 habitants, s’établit à 276,4 (-18 %).
La Nandrinoise qui résidait à présent à la Seniorie de Tinlot avait fondé l’Elan Vocal - Fondation Christian Blavier, une fondation à vocation culturelle. « Elle en est la fondatrice avec son mari et Roland Foliez. C’est à la mort tragique de leur fils en 1971 que M. et Mme Blavier ont créé cette absl devenue fondation pour surmonter leur chagrin et réaliser tout ce que leur fils aimait, c’est-à-dire la culture sous toutes ses formes », nous rapporte Albert Lion, l’actuel président de l’Elan vocal - Fondation Christian Blavier. Parmi ses réalisations, nous pouvons citer différents ateliers créatifs allant de la couture, la broderie à la peinture ou encore la création d’une chorale. Mais aussi le petit musée communal de la vie rurale condruse.
Marie Giet était aussi connue à Nandrin pour avoir été la directrice de l’école de l’Etat. « C’est d’ailleurs là que nous nous sommes connus car j’enseignais à Nandrin. Nous avons tissé des relations amicales et le fait d’avoir perdu tous les deux un enfant nous a rapprochés. »
Résidente à la Seniorie de Tinlot, Madame Blavier, veuve, restait proche de ses amis. « Nous sommes restés en contact sauf depuis le confinement où les visites n’étaient plus permises. Mme Blavier avait un sacré caractère, c’était une personne qu’on n’oublie pas. Elle était par ailleurs altruiste, toujours à se soucier de ses amis, à les soutenir dans les moments difficiles », décrit Albert Lion. Nandrin perd ainsi une femme de caractère généreuse.
Les funérailles seront organisées par les pompes funèbres Georis.
Plus d’infos sur la Fondation sur https://elan-fondation-ch-blavier.jimdofree.com/
Par Annick Govaers
Plusieurs crèches extérieures ont été installées par des bénévoles de nos villages.
En voici quelques-unes à découvrir (liste non exhaustive).
Anthisnes (rue du centre, façade du presbytère)
Borsu (rue de Borsu, devant l’église)
Clavier Station (rue du marché, devant l’église)
Ouffet (entre l’école saint Joseph et la place)
Saint-Séverin (rue d’Engihoul, près de la salle communale)
Saint Séverin (sur la place du village)
Saint Séverin (rue d’Engihoul, à l’entrée de la rue du Bosquet)
Scry (place de l’église, devant le prieuré)
Tinlot (rue de l’église, devant l’église)
Villers-le-Temple (rue de la chapelle, devant la chapelle de Fraineux)
Villers-le-Temple (rue de la Tourette, devant l’église)
Xhos (rue de Xhos, place du village)
Yernée (route d’Ombret)
« Arrêtons-nous devant l’Enfant de Bethléem. Laissons notre coeur s’émouvoir » (pape François).
L'hiver, c'est la saison durant laquelle il est conseillé de nourrir les oiseaux dans son jardin ou sur son balcon.
Même lors des hivers assez doux, il est utile de les aider, car leurs ressources alimentaires "naturelles" (graines laissées sur pied dans les cultures, baies dans les arbustes...) ont tendance à diminuer à cause des techniques agricoles modernes.
Articles sur le sujet
http://www.ornithomedia.com/pratique/conseils/comment-nourrir-oiseaux-hiver-00411.html
http://www.natagora.org/index.php?option=com_content&task=view&id=277&Itemid=94
http://www.terrevivante.org/680-aidez-les-oiseaux-a-passer-l-hiver.htm
Le 30 juin dernier, le tout dernier distributeur automatique de billets présent sur le territoire communal de Hamoir disparaissait définitivement, en parallèle à la fermeture de la dernière banque en activité. ING invitait alors les Hamoiriens (3870 habitants) à se rendre dorénavant dans l’agence de Barvaux, située à 15 minutes en voiture de Hamoir.
Dès le mois de février 2020, le conseil communal a pris la décision de solliciter bpost pour l’installation d’un distributeur dans la commune. Une sollicitation à laquelle l’entreprise a répondu positivement, laissant entrevoir la possibilité d’installer un guichet automatique début 2021.
Un container Place Del Cour début 2021
Suite aux rencontres entre la commune et bpost, il a été décidé d’opter pour l’installation d’un appareil extérieur, sur le parking en face de l’Office du Tourisme, Place Del Cour.
La convention de bail commercial avec bpost passe au conseil communal de ce mardi 15 décembre.
« On signe un papier avec bpost pour dire qu’on met à disposition le terrain du parking», précise le bourgmestre Patrick Lecerf.
« La demande de permis est en cours. Il sera sûrement délivré fin décembre ou début janvier. J’espère qu’on aura le distributeur dans les prochains mois».
Sous la forme d’un container du même modèle que celui installé à Modave, en face de l’hôtel de police de Strée, ce nouveau distributeur sera opérationnel dans le premier trimestre 2021.
par P.Tar.
Comment réintroduire un peu de magie de Noël et de lien social en cette période de confinement ? C’est la question que se sont posés Mélanie et Quentin Michel, deux habitants de Modave passionnés d’attelage et d’équitation.
D’habitude, le couple propose à ses voisins de se retrouver autour d’un verre de Noël, ce qui permet aux gens du quartier de se rencontrer dans la convivialité. Vu que cela n’est pas possible cette année, ils ont décidé de souhaiter de joyeuses fêtes aux personnes isolées du village en circulant dans les rues à bord de leur calèche tilbury de 1910, entièrement remise à neuf l’année dernière.
« Ça amuse les gens de voir passer la calèche, car c’est un bel attelage. On s’est dit que ça serait un moyen de mettre un peu de sociabilité dans le village », explique Quentin Michel. « On ne peut pas entrer chez les gens. L’avantage de la calèche est qu’on la voit depuis la fenêtre. On fera coucou et on souhaitera un joyeux Noël sans qu’il y ait de contact physique. On s’arrêtera devant chez les gens, simplement dans l’idée qu’il se passe quelque chose le jour de Noël. On déposera nos spéculoos sur le pas de la porte ».
Professeur à l’université, Quentin (51 ans) a toujours été passionné par l’équitation. Depuis une dizaine d’années, avec sa compagne Mélanie, il a commencé à faire de l’attelage. « On a acheté un traineau il y a 8 ou 9 ans. Malheureusement, on peut toujours rêver pour l’utiliser à Noël, car il faut un sol gelé et de la neige », explique-t-il. « L’essentiel du temps, on sort la calèche. On en a plusieurs, mais celle qu’on utilisera est la plus ancienne, qui a un côté un peu glamour, dans l’esprit de Noël ».
Le couple a lancé un appel sur les réseaux sociaux ce dimanche pour que les personnes intéressées par le passage de la calèche se manifestent. « La commune ne peut pas nous donner la liste des personnes âgées isolées de la commune, donc on fait un appel. Ça peut-être la personne qui nous contacte directement, ou un voisin par exemple ».
La démarche de Mélanie et Quentin est totalement gratuite, dans l’objectif de réintroduire l’esprit de Noël dans cette période compliquée. Si vous êtes intéressé ou connaissez quelqu’un à qui cela pourrait faire plaisir, contactez directement Quentin Michel au 0477/50.11.75.
article de P.Tar.
Article complet Sudinfo clic ici
Mélanie et Quentin Michel sont tous deux passionnés d’attelage et d’équitation. - DR
Madame BLAVIER s'est éteinte ce matin, à la Seniorie de Tinlot mercredi 16 décembre 2020
Elle était née le 23 avril 1923.
Les funérailles seront organisées, dans le total respect des mesures anti-covid, par les pompes funèbres GEORIS
Elle reposera au funérarium GEORIS, non loin du rond-point de Rotheux.
Musée de la Vie Rurale Condruse ,la Fondation Christian Blavier , L'Elan Vocal l'enseignement, la peinture, art la culture etc ....... Merci Madame .
Merci particulièrement d'avoir cru en moi pour le Blog il y a 10 ans
Plus d'information et d'hommage dans les prochaine Heures
Discours de Madame Blavier en Vidéo , Clic sur la vidéo
La page Facebook de Nandrin l'annonce
Boîtes à "vivre".
Dans cette période de cadeaux, aidez les personnes de notre commune qui en ont besoin! Comment? En leur offrant une boîte à chaussure de vivres non périssables, de produits d'entretien et d'hygiène en la déposant à l'espace-jeunes.
Place Botty, 1 à Nandrin
Mercredi 16/12 de 14h à 18h
Vendredi 18/12 de 17h à 20h30
Samedi 19/12 de 14h à 18h.
Une initiative du CPAS de Nandrin en collaboration avec l'administration communale, l'ATL et l'espace-jeunes de Nandrin.
0476 75 27 09
Chaque jour, de nouvelles situations surgissent où votre sang peut sauver une vie humaine. Accidentés de la route, leucémiques, hémophiles, grand brûlés : tous peuvent avoir besoin de votre sang pour recouvrer la santé ou échapper au pire.
Oui, si vous êtes âgé(e) de 18 à 70 ans et en bonne santé.
Nous vous invitons à consulter l’agenda des collectes de sang sur le site Transfusion.be.
N° de téléphone gratuit: 0800 92 245
Site web: www.transfusion.be
Les livres de Nicolas Nys sont disponibles à Amay, Huy, Engis, Villers-le-Bouillet, Nandrin, Saint-Georges, Verlaine, Ouffet, Waremme, Fexhe et Crisnée. la librairie Noël à Nandrin
Cela fait longtemps que Nicolas Nys, assistant social amaytois, prend du plaisir à raconter des histoires.
Mais c’est seulement en septembre 2020 qu’il a osé publier pour la première fois, deux livres d’un coup : « Les Contes de la Sorcière Rose » (trilogie fantastique en 13 contes) et « Sky Girl » (l’histoire d’une super-héroïne qui se déroule en partie à Amay).
À peine 3 mois plus tard, le prolifique auteur revient déjà avec le deuxième tome de la trilogie de la Sorcière Rose, qui se déroule toujours dans l’univers de Tadorannia.
« J’apporte la fin de l’histoire sur la Princesse Lily, mais aussi des précisions sur le monde, avec plus de provinces à explorer et un combat naval avec de la magie », raconte avec enthousiasme Nicolas Nys. « Alice, la Sorcière Rose, développe ses pouvoirs et les femmes sont mises en avant ».
Autre nouveauté, l’écrivain amaytois a eu l’occasion de signer un contrat chez Fawkes Editions à Waremme pour un autre livre qui se déroulera lui aussi dans l’univers de Tadorannia, à une époque plus tardive que celle des contes. En attendant, le troisième et dernier recueil des Contes de la Sorcière Rose s'intitulera « La Révolte d’Émilie Brendenbourg » et devrait sortir à Pâques.
« Je n’ai pas de distributeur à ce stade, donc je démarche moi-même chez les libraires. Parfois c’est non, car il faut de la place pour Obama… mais c’est assez souvent oui ! ».
Les livres de Nicolas Nys sont disponibles à Amay, Huy, Engis, Villers-le-Bouillet, Nandrin, Saint-Georges, Verlaine, Ouffet, Waremme, Fexhe et Crisnée.
Dès ce lundi, le nouveau recueil des Contes de la Sorcière Rose est disponible en précommande.
Plus d’infos : «Nicolas Nys » sur Facebook.
Article Complet Sudinfo clic ici
Une chose est certaine, les Hamoiriens ont le sens de l’humour.
Une banderole annonçant une « grande soirée le 24 chez le mayeur » a été accrochée sur les barrières d’un chantier en cours, boulevard Pieret à Hamoir.
Cette plaisanterie est un clin d'œil aux récentes déclarations « polémiques » du bourgmestre Patrick Lecerf sur la limitation du nombre d’invités lors du réveillon de Noël.
Régulièrement décrit comme le rebelle de Noël dans les médias ces dernières semaines, le bourgmestre a lui-même été amusé par la banderole.
« C’est un ami qui aime bien faire des blagues, il n’y a pas de problème.
Il m’avait prévenu », explique Patrick Lecerf.
« Il faut garder le sens de l’humour dans toutes les circonstances.
On n’a plus trop la liberté de s’exprimer et de penser, alors j’espère qu’on ne va pas nous enlever le droit de faire de l’humour ».
Pour faire taire toute rumeur, le bourgmestre tient tout de même à assurer qu’il n’y aura évidemment pas de soirée chez lui le soir du 24 décembre.
Il en profite pour rappeler le côté positif qui est ressorti de cette polémique.
« Ce qui a changé en deux semaines, c’est qu’on parle beaucoup plus des personnes qui souffrent d’isolement, et le message est redevenu humain, contrairement aux trois chiffres de Frank Vandenbroucke.
Beaucoup de gens m’ont dit merci ».
Selon le mayeur, le message de base a été mal interprété car beaucoup se sont arrêtés à un titre, sans voir plus loin.
« Ce que je réclamais, c’est qu’il y ait une analyse de la situation avant Noël, et il y en aura une le 18.
Elle débouchera plus que probablement sur des changements.
Dans une crise, on ne doit oublier personne », conclut-il.
Par P.Tar.
L'année 2020 aura été une année noire pour beaucoup de personnes .
Annus horribilis utilisée par la Reine Élisabeth II pour qualifier l'année 1992, dans un discours prononcé le 24 novembre 1992.
J'ai eu la chance pendant 10 ans d'être à la tête d'un blog Villageois de Sudinfo bénévolement !
Je remercie l'enseigne Sudinfo de la confiance qu'ils m'ont accordée pendant les 10 dernières années, ainsi que le soutien et la reconnaissance .
Aujourd'hui nous avons reçu l'information Sudinfo :
sic" Nous avons dû prendre la décision d'arrêter les blogs pour diverses raisons"
Plusieurs solutions nous sont proposées
Je fais mon possible pour faire le meilleur choix
La page Facebook La Meuse "Blog villageois " . Elle va normalement rester et devenir Blog Villageois
Ainsi Chaîne infos du Condroz Blog Villageois
Ou les 15 prochains jours je vais essayer de rapatrier les 550 albums photos
Le Blog en chiffres :
1 523 742 Nouveaux utilisateurs
3 954 359 Pages vues 3 389 838 Vues uniques
2 847 586 Sessions
202 pays
312 langages différentes
18870 Articles 550 albums photos
2798 commentaires
Plus ou moins 3650 news letters
J'ai vécu une belle aventure, je ne regrette rien, j'ai aidé au mieux que j'en avais la possibilité.
Mon père me disait quand j'étais toute jeune, quand tu fais quelque chose, fais le bien, Depuis cette époque, j'ai toujours essayé de m'appliquer dans chaque chose que j'entreprends, je n'y arrive peut-être pas toujours, mais je fais de mon mieux .
Avec le Blog Sudinfo Nandrin la boucle est bouclée.
10 ans de rendez-vous sur le blog, pages Facebook, réseaux sociaux et dans vos boîtes mails via les News letters.
Donc pour ceux qui veulent récupérer des photos ou articles profiter des 15 prochains jours.
Je vous souhaiterais mes vœux, jusqu'à la dernière minutes, le 31 décembre 2020, j'essayerais de soutenir les indépendants locaux par des articles, qui resterons visibles jusqu'ai 1 février 2021.
Je remercie les personnes anonymes, ou pas, de l'aide pendant les 10 ans : Emilie, Anaïs, Loris, Jean-Claude, Joseph 1, Joseph2 +, Marc, Guy, Myriam, Julien, Christophe, Claude, Eric, Jean-Pol , Brigitte etc etc .... beaucoup trop nombreux j'en oublie certainement beaucoup .
Puis Nos journalistes , Annick, Christophe, Amélie, Sonia, Eric , Pierre, Romain, Michel, Pierre2, Didier, Alison, Aurélie, Marie-Claire, Joël, Laura Fiona ,Etc ....... de nouveau pareil j'en oublie beaucoup désolée.
C’est un beau projet humanitaire qui attend Gaspar Michel et Gauthier Adams au mois de février prochain. Les deux jeunes hommes étudiants, âgés de 21 ans et originaires de Modave et de Neupré s’apprêtent à participer à la 24e édition du 4L Trophy, qui se déroulera du 18 au 28 février. Avec pas moins de trois pays à traverser, les deux étudiants en finance à l’Université de Rotterdam prendront le départ à Biarritz à bord de leur Schtroumpffette, une Renault 4L.
« Nous serons équipés d’une boussole et d’un roadbook. Chaque jour, nous rallierons un point A à un point B sans aucun système GPS. Nous traverserons les plus grands espaces du sud-est marocain et nous irons à la rencontre des populations locales pour terminer le raid à Marrakech, si la situation sanitaire le permet », nous expliquent-ils.
Durant dix jours, Gaspar et Gauthier, amis depuis toujours parcourront plus de 6.000 kilomètres sur les routes de France, d’Espagne et du Maroc. Ce raid humanitaire qui a lieu chaque année a pour but de soutenir l’association « Enfants du désert » qui encourage l’accès à l’éducation pour tous les enfants.
Au total, 2.400 jeunes, de nationalités différentes, âgés de 18 à 28 ans participeront à cette expérience hors du commun pour accomplir une mission engagée et durable. Des dons matériels ainsi que des dons financiers seront acheminés dans le coffre de leur Renault 4L. « Dans nos vies étudiantes, nous avons décidé de nous offrir un break pour vivre cette expérience unique. Nous avons le besoin d’aller voir ce qui se passe à l’autre bout du monde pour mieux se rendre compte et s’ouvrir à l’esprit : vivre les choses pour mieux les comprendre. Nous collecterons des fournitures scolaires et des vêtements de sport destinés aux enfants les plus démunis du Maroc. Nous sommes extrêmement fiers de représenter notre belle région liégeoise au sein d’une telle aventure humaine. Cette expérience est un rêve de gosse », ajoutent les deux amis.
Depuis 2012, 26 salles de classe ont été ouvertes, 260.000 enfants ont bénéficié du matériel scolaire et sportif et de plus de 70 projets ont vu le jour. « Toutes les personnes qui possèdent des fournitures scolaires, des vêtements, elles peuvent nous contacter. Tous les dons seront acheminés dans notre coffre », indique Gauthier Adams.
En dépit de crise sanitaire, les deux amis espèrent tout de même pouvoir partir. « On a peur que ce soit annulé mais si ça l’est, cela devrait être reporté », s’inquiètent-ils. Si l’organisation maintient cette aventure, vous pourrez suivre leur voyage sur Instagram ou sur Facebook avec Les Aventures de la Schtroumpfette
.
Article Par A.D.
Article complet Sudinfo clic ici
Album Archives dans l'histoire clic ici
Une pensée émue pour Joseph Vermeulen qui a gardé les archives comme un gardien de la mémoire du village .
Monsieur Axel MODAVE
Epoux de Madame Sabine DELLOY
Domicilié à Ouffet (4590, Belgique)
Né à Soheit-Tinlot (4557, Belgique) le dimanche 8 octobre 1961
Décédé à Liège (4000, Belgique) le samedi 12 décembre 2020 à l'âge de 59 ans
Nécrologie PF Lardau & Laffut (lardau-laffut.be)
Nous présentons nos plus sincères condoléances à Madame Sabine .
En mon nom et au nom de l'équipe du Blog de Nandrin , nous présentons nos plus sincères condoléances à la famille .
Deux chercheurs de la KU Leuven ont relevé un retard scolaire moyen de six mois parmi des élèves de 6e primaire provenant de plus de 400 écoles.
Quant à l’absentéisme, la ministre a annoncé, au parlement, qu’il concernait 12.000 élèves francophones en novembre 2020, contre 8.000 un an plus tôt, soit une hausse de 50 %. Un phénomène de décrochage scolaire qui s’est amplifié lors de la crise sanitaire.
C’est grave, docteur ? Nous avons posé la question au psychopédagogue Bruno Humbeeck, l’un des meilleurs spécialistes de notre enseignement.
« On n’a pas encore rattrapé tout le retard causé par la suspension des cours au printemps, c’est vrai. La deuxième secousse, cet automne, a rajouté du retard au retard », dit-il. « Je ne vois toutefois rien de catastrophique, même s’il faut se donner les moyens de ce rattrapage. L’important est d’évaluer où en sont les enfants, individuellement. Je ne veux pas entendre parler de ‘génération sacrifiée’. Les années de guerre n’ont pas fourni une génération de crétins ! »
M. Humbeeck insiste : « Il faut éviter la panique. Je plaide pour un accompagnement individuel, jusqu’au niveau universitaire. Cette pandémie ouvre aussi des opportunités pour beaucoup de jeunes, celle de penser autrement, par exemple (…) Ce serait stupide d’estampiller cette génération comme étant moins intelligente que les autres. Ce qu’il faut surtout éviter, c’est de laisser le privé s’engouffrer dans la brèche en jouant sur les angoisses des parents : si vous payez nos services, vous résorberez le retard de vos enfants ».
Il trouve que le discours actuel de la Fédération est adéquat : le souci de l’individuel sans sacrifier le collectif. « Un mix très subtil. Non, on ne nivelle pas par le bas. Quand on supprime des épreuves certificatives, comme en juin, on met à la place des évaluations formatives pour savoir où les élèves en sont dans leurs apprentissages. »
Le psychopédagogue se réfère aux pionniers de l’aviation : « Au début, ils se vautraient tout le temps. Aujourd’hui, c’est peut-être l’entreprise qui réalise le meilleur score en matière de sécurité car on a pris le temps d’analyser et d’expliquer chaque erreur. Il faut prendre le temps de faire cela avec les enfants, en les faisant aussi aider par d’autres élèves qui ont compris ; c’est l’enseignement mutuel. »
Ce qui manque, à son avis, c’est l’accompagnement des enseignants. « Je vois plein de belles initiatives dans les écoles, mais il faut accompagner les nouvelles façons de travailler. Se positionner pour ou contre l’ordinateur, c’est un débat dépassé ; c’est la façon dont on l’utilise qui importe. Il ne faut pas de révolution pédagogique, mais une évolution. »
Son dernier message : « Ne jamais renoncer au présentiel, car un enseignant mobilise une partie de son cerveau pour voir tout ce qui se passe au niveau de la gestuelle des élèves (des sourcils qui se lèvent...) (...) S’il y a prudence sanitaire, il faut faire preuve d’audace pédagogique ».
La période des fêtes de fin d’année arrive à grands pas.
Ce n’est un secret pour personne, Noël et Nouvel An n’auront pas la même saveur que les autres années.
Et même au sein de sa bulle, il y a des gestes à éviter.
« Chaque année, les fêtes impliquent une hausse importante des cas de grippe et de gastro-entérite.
On peut donc aisément imaginer l’impact de ces célébrations sur l’épidémie de Covid-19.
C’est pourquoi il est essentiel qu’il n’y ait pas de grandes embrassades et de grandes réunions familiales cet hiver.
Toute se fera dans sa bulle.
Même au sein de son foyer, le virus peut se transmettre par des gestes anodins lorsqu’on est à table.
Rien de tel que de s’entraîner durant les fêtes avec sa bulle à éviter ces habitudes, cela nous permettra d’accueillir sereinement nos invités quand on pourra le faire », explique un généraliste.
Des habitudes tenaces
Quels sont ces gestes à éviter ?
« Quand on prend l’apéro, on ne met pas des plats de chips et cacahuètes.
Il en va de même pour les légumes à tremper dans la sauce.
Cette année, chacun doit toucher uniquement ce qu’il mange.
Il faut aussi désigner une personne qui se chargera d’assurer tout le service, boissons comme plats.
On ne se passe pas non plus les assiettes et les verres », poursuit-il.
Pendant le repas, on sert à table et on évite que les convives prennent en main les mêmes ustensiles pour se servir.
« On ne met pas la saucière sur la table, on propose plutôt de resservir.
On ne goûte pas non plus dans l’assiette ou le verre de l’autre.
C’est toujours tentant de goûter le vin blanc de son épouse alors qu’on boit du rouge.
Mais, lorsqu’on sera avec des proches après le déconfinement, l’habitude persistera.
Dans la même idée, on ne termine pas le plat d’un des convives. »
Quand minuit retentira, on ne trinque pas.
« Un bodycheck et un ‘Santé’ à distance, c’est le mieux.
Même si on est au sein de son foyer, on évite les bisous pour souhaiter les bons vœux.
Ce sera pareil pour les anniversaires, mariages… quand ils seront à nouveau autorisés.
En fin de soirée, certains aiment partager une cigarette ou un bon cigare.
C’est aussi à proscrire », conclut le généraliste.
Aujourd’hui, quasi toutes les zones de police de la région liégeoise sont sur Facebook. Elles y partagent leur actualité, des avis de la police fédérale, des appels à la vigilance, ou encore les mesures gouvernementales pour la Covid-19.
Mais jusqu’ici, pas une seule n’avait franchi le pas du réseau Instagram, pourtant très prisé par la « jeune » population. C’est désormais le cas à Seraing/Neupré, où la zone de police vient d’ouvrir son compte.
En quelques jours, deux publications sont venues agrémenter la page. La première est une très belle photo d’une patrouille cycliste dans ce qui semble être les bois de la Mare aux Joncs. La seconde est un appel à la vigilance pour une tentative d’escroquerie.
La zone peut donc être suivie via l’adresse suivante :
www.instagram.com/police_locale_seraing_neupre
« Selon un dernier décompte, 1.645 personnes ne se sont toujours pas inscrites dans une auto-école pour le Passeport Drive. Il se peut aussi que des auto-écoles n’aient pas encore renvoyé les documents nécessaires. C’est important de le faire le plus rapidement possible sinon elles vont passer à côté », explique Thierry Ney, porte-parole du Forem. La date butoir est fixée au 31 décembre. Quelque 1.874 demandeurs d’emploi se sont déjà mis en ordre.
Doté d’un budget de 8 millions d’euros et lancé à l’initiative de la ministre wallonne Christie Morreale, le Passeport Drive permet à 3.800 demandeurs de passer gratuitement leur permis voiture. Sur ce total, 3.519 ont déjà été inscrits par le Forem. « Pour les autres, nous prendrons contact avec eux par la suite », précise Thierry Ney.
Le coût de la formation s’élève 2.099,50 € par bénéficiaire. Il comprend 12 heures de cours théoriques dans une auto-école, les frais d’inscription à l’examen théorique (maximum deux essais), 30 heures de cours pratiques, ainsi que les frais au test de perception des risques et à l’examen pratique (maximum deux essais). Comme il s’agit de la formation de 30 heures, le candidat est dispensé de stage de conduite obligatoire. Le Passeport comprend aussi deux accompagnements à l’épreuve pratique (formateur et véhicule de l’auto-école).
Pour bénéficier du chèque, il fallait avoir terminé ou suivre une formation en 2020 auprès du Forem ou être inscrit dans une démarche d’insertion professionnelle auprès d’un CPAS.
« La détention du permis augmente, en moyenne, la probabilité d’insertion à l’emploi d’un peu plus de 10 % », souligne Thierry Ney. Laurent Maloteaux (37 ans) d’Aiseau le sait bien : « J’ai postulé dans plusieurs boîtes. À chaque fois, il fallait le permis. Je n’ai jamais eu l’occasion de le passer. Cela coûte cher et j’étais au chômage. J’ai décroché un CDD. Il pourrait se transformer en CDI si j’obtiens mon permis ».
L’employeur en question, c’est une société de logements sociaux dans la région de Charleroi. Jean-Luc Lizarde ne cache pas que le profil de Laurent l’intéresse grâce à la polyvalence acquise via les formations du Forem : « Nous gérons 2.300 logements sur trois sites. Sanitaire, chauffage, électricité… nous avons une quinzaine d’interventions par jour. S’il convient à l’issue du stage et s’il a le permis, on pourrait l’engager de manière définitive ».
Laurent Maloteaux avait déjà pris des cours théoriques lorsque le second confinement a été décrété : « Il me reste six heures. J’espère que cela ira à la reprise. Avec le temps, on a tendance à oublier ». Sur les 222.481 demandeurs d’emploi inscrits en août, 44 % n’avaient pas le permis. Le Passeport Drive pourrait être pérennisé en cas de résultats positifs.
Par Yannick Hallet
Cet été à Hamoir, près de 3.000 personnes sont venues prendre part au parcours d’énigme inspiré de l’univers Harry Potter. Un succès inattendu qui a ravi les commerçants locaux pendant la période estivale.
Motivées par ce résultat plus qu’encourageant, les employées de l’Office du Tourisme de Hamoir ont décidé de remettre le couvert pour la période hivernale, avec un thème qui devrait à nouveau plaire aux promeneurs : la magie des films de Noël.
Tout au long d’une balade de 5km à travers Hamoir, entièrement accessible aux personnes à mobilité réduite et aux poussettes, des indices seront disséminés pour vous aider à retrouver le titre de 9 films de Noël emblématiques. À la clé ? La possibilité de participer à un tirage au sort et de remporter une nuitée au Château de Lassus.
Des décors
« Cette année, on a dû réfléchir pour proposer des activités qui respectent les mesures en vigueur », explique Emeline Wynants, employée à l’OTH. « Les gens ont envie de sortir de chez eux, donc est reparti sur le même type d’événement qu’en été, avec un parcours différent. Vous passez devant des décors et vous devez deviner le nom du film. Par exemple, une des installations consiste en des panneaux peints en blanc avec des textes écrits dessus, comme dans la célèbre scène de Love Actually. Ils seront plantés dans le sol, le long de l’eau ».
C’est seulement la deuxième fois qu’une telle balade thématique est organisée à Hamoir.
L’activité sera accessible du 19 décembre au 3 janvier et les flyers sont accessibles gratuitement durant les heures d’ouverture de l’OT ou sur le site web : www.hamoirtourisme.be . Le départ est libre, sans réservation.
La distribution s’est tenue vendredi à Ocquier, là où la Croix-Rouge délivre ordinairement ses colis alimentaires. Cette fois, les bénéficiaires ont reçu un sachet en plus avec pralines, pâtés, vins, fromages etc. et friandises pour les enfants.
Une trentaine de familles va ainsi pouvoir fêter Noël comme il se doit, avec quelques plaisirs.
« Les gens étaient très surpris et contents de recevoir leur colis festif, ça se voyait dans leurs yeux », se réjouit Fabienne Dubois, secrétaire du Collectif Femmes. Qui remercie au passage Annie Luymoeyen, bénévole au Collectif Femmes et à la Croix Rouge d'Ocquier qui a fait le relais en préparant ces sachets.
Article Par A.G.
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Dès ce mercredi 16 décembre, le centre de testing Covid du CHU de Liège, le Depist-Car, va quitter le parking prche des urgences de l’hôpital. Il déménage pas très loin de là pour rejoindre le parking de la grande salle de spectacles et de sport du Country Hall. Tous les prélèvements – sur rendez-vous, rappelons-le, y seront organisés.
« Ces tests seront effectués par le personnel du CHU sur la grande zone de parcage du Country-Hall mis gratuitement à disposition. Le déménagement n’altère en rien les dépistages déjà programmés avec rendez-vous confirmés. Les patients seront prévenus par SMS de la nouvelle localisation », confie-t-on du côté de l’hôpital liégeois.
Un déménagement rendu obligatoire par les actuels travaux pour créer et aménager de nouveaux parkings au CHU. « Nous avons besoin de cet espace », explique Anne-Catherine Geurts, responsable « Mobilité » du CHU de Liège. « Au Country-Hall, notre « Depist-Car » profitera de plus d’espace et ne provoquera plus de problème de circulation près des urgences », précise pour sa part le Dr Sandra Delcourt, responsable des centres de prélèvements.
Rappelons que toutes les personnes présentant des symptômes, qui auraient eu un contact à risque, qui reviennent d’une zone rouge et les patients devant se faire opérer ou hospitaliser au CHU de Liège seront reçus, sur rendez-vous (04/242.52.52) du lundi au vendredi, de 12h30 à 16h30, dans le tout nouveau dispositif mis en place au Country Hall et ce toutes les quinze minutes afin de maintenir un flux permanent et éviter tout embouteillage.
Pour chaque rendez-vous pris, un sms sera systématiquement envoyé aux patients 48 heures à l’avance pour rappeler l’heure, la date et le lieu du dépistage, ajoute-t-on au CHU.
Le centre de testing poursuit donc son adaptation. Il est né le 16 mars dernier, lorsque le CHU a ouvert, sur le parking le plus proche des urgences du Sart Tilman, son « Village COVID » pour organiser le tri des patients avant leur entrée dans l’hôpital. Jusque-là, depuis le début de la crise, le tri avait été effectué dans les locaux voisins d’ATC-Pharma, libérés pour l’occasion. Le 13 juillet, le « COVID Village » se transformait en centre de prélèvements COVID du CHU de Liège, appelé « Depist-Car ».
Depuis ce jour et jusqu’à aujourd’hui, plus de 20.000 tests y ont été effectués.
Le Nandrinois était connu à Saint-Georges pour avoir enseigné les mathématiques à l’athénée royal pendant presque toute sa carrière. Il s’était fait remarquer dans sa commune pour son engagement politique sous les couleurs du cdH, comme conseiller CPAS de 1995 à 2001, puis conseiller communal de 2001 à 2012, dans l’opposition.
En 2012, il n’avait pas été élu avec Expression(s) Communes (PS-cdH-Ecolo) mais était premier suppléant.
Déçu par son groupe, il avait fini par devenir conseiller CPAS pour le groupe d’opposition Pour Nandrin Citoyenne de Marc Evrard, qu’il connaît depuis de nombreuses années, en tant que premiers résidents du lotissement du Parc de la Gotte.
En 2018, il se présentait pour la dernière fois aux élections avec PNc, une liste qu’il poussait, sans être élu.
Natif d’Arbrefontaine (Lierneux), il y possédait quelques hectares de bois dont il prenait plaisir à s’occuper.
Il y était d’ailleurs retourné une dernière fois en novembre, bien qu’affaibli.
Antoine Biémont avait par ailleurs connu l’incendie de sa maison à Nandrin, une bâtisse qu’il avait reconstruite en partie lui-même.
« Antoine était un très bon prof de mathématiques, doux, qui n’hésitait pas à sortir à l’extérieur pour expliquer le théorème de Pythagore à ses élèves. C’était aussi quelqu’un de très rigoureux, d’une grande droiture, incorruptible. Enfin, dans la maladie, il a fait preuve d’un courage extraordinaire, il ne se plaignait jamais, on aurait dit qu’il n’avait rien, c’était d’ailleurs impressionnant », commente Marc Evrard, son colistier et voisin de longue date.
Le Nandrinois, veuf, avait une fille, Stéphanie, mais pas de petit-enfant. Il repose au funérarium Georis à Neupré où il est possible de lui rendre un dernier hommage le mardi 15 décembre de 16 à 17h.
Les funérailles seront, elles, célébrées dans l’intimité familiale.
Combien serons-nous en 2034 ? L’Institut de statistique wallon (Iweps) a publié récemment une enquête démographique qui livre des prédictions sur le nombre d’habitants en Wallonie à l’horizon 2034.
Ces prévisions prennent en considération « non seulement les spécificités locales des phénomènes de fécondité, de mortalité et de migration, mais aussi l’évolution des ménages », et également les effets de la pandémie de coronavirus.
« Ces perspectives démographiques constituent un outil à la prise de décision dans de nombreux domaines de la gestion d’une commune (logement, équipement, aménagement du territoire…) », indique l’Iweps. À la lecture de ces données, on constate que l’arrondissement de Huy-Waremme s’apprête à connaître un boom démographique. En effet, la Wallonie devrait à voir sa population augmenter de 4%, et idem au niveau de la province de Liège. Sur les 31 communes de Huy-Waremme, seules quatre entités ont un taux de croissance inférieur à la moyenne wallonne et provinciale : Fexhe (-3%), Hamoir (0%), Huy (0%) et Nandrin (-1%).
Avec une augmentation prévue de 29%, la commune de Crisnée pourrait gagner près de mille nouveaux habitants d’ici 2034.
« La commune est très attractive. On doit continuer à anticiper la croissance, comme on l’a fait avec le site « Crisnée Demain » qui accueille la nouvelle maison communale », explique Philippe Goffin (MR).
Le bourgmestre crisnéen rappelle cependant que les terrains à bâtir se font rares sur l’entité, et que les constructions d’appartements se cantonnent aux abords des routes régionales et aux anciennes fermes. « On veut garder ce mixte : une commune rurale qui correspond aux standards de modernité ».
Même son de cloche du côté de Burdinne, qui connaît une évolution impressionnante et, selon les prévisions, est en passe de dépasser la barre des 4.000 habitants en 2034.
« On a énormément construit ces 10 dernières années. Le fonctionnement de la commune évolue avec cette augmentation », commente le bourgmestre Frédéric Bertrand (MR).
Deux communes devraient voir leur nombre d’habitants baisser selon WalStat : Nandrin et Fexhe-le-Haut-Clocher.
Une nouvelle qui ne dérange pas le premier citoyen fexhois.
« Fexhe doit garder son âme et son identité », déclare Henri Christophe (MR).
« On a opté pour conserver le caractère rural de la commune. On ne veut pas de zoning. La commune se situe en Hesbaye profonde avec des campagnes, et doit le rester. Je n’ai pas envie que Fexhe devienne Grâce-Hollogne ».
Au niveau des cinq grands pôles de l’arrondissement, une observation s’impose : les communes de Hesbaye ont davantage la cote que les centres de bord de Meuse ! Waremme et Hannut devraient en effet continuer leur forte croissance démographique, avec respectivement des augmentations prévues de 13% et de 15%.
En passant de 16.571 à 19.048 habitants, la Ville de Hannut devrait, selon les prévisions de WalStat, se rapprocher fortement du seuil symbolique de 20.000 habitants et ainsi concurrencer Huy en termes de démographie. Idem pour Waremme, qui passerait de 15.334 habitants à 17.284.
La vallée mosane connaît quant à elle un accroissement bien plus modeste. Huy stagne au seuil de 21.000 habitants, mais reste (pour combien de temps ?) la ville la plus peuplée de l’arrondissement. Sa voisine wanzoise aurait de son côté une évolution de 4%, qui épouse la moyenne wallonne et provinciale. La localité d’Amay sort quant à elle du lot avec une prévision de croissance de 8% qui devrait amener la commune écologiste à dépasser le palier de 15.000 habitants d’ici 2034. Notons qu’Engis enregistre une estimation de 15%, nettement au-dessus des chiffres des autres entités de bord de Meuse.
Article et rédaction de par RO MA
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