La SRPA, Société Royale Protectrice des Animaux, de Huy-Vinalmont est totalement fermée actuellement.

La responsabilité élargie du producteur (REP) pour les matelas entrera en vigueur le 1er janvier. À partir de cette date, les consommateurs devront s’acquitter d’une contribution environnementale à l’achat d’un nouveau matelas mais pourront rapporter gratuitement les anciens au recyparc.
La contribution environnementale, dont le montant varie selon le type et la taille du matelas, sert à couvrir les coûts de collecte, de traitement et de démantèlement des matelas usagés. Cette contribution permet également de financer la recherche et le développement en matière d’écoconception de nouveaux matelas.
L’introduction d’une REP pour les matelas signifie que tout producteur et importateur de matelas doit assumer le flux de déchets généré par la vente de matelas en Belgique. Ils doivent prendre en charge les frais de collecte et de traitement et atteindre les objectifs définis légalement en matière de collecte et recyclage.
Quatre nouvelles plaques d’immatriculation seront introduites le 1er janvier et remplaceront les actuelles plaques essai ZZ et les plaques marchand Z : une professionnelle, une marchand, une essai et une nationale. Ces quatre plaques présentent un fond blanc ainsi qu’une combinaison de chiffres et de lettres de couleur vert mousse.
La nouvelle plaque essai sera valable pendant un an, du 1er janvier au 31 décembre inclus. Elle a pour objet la réalisation d’essais sur route visant une homologation nationale ou européenne de véhicules, de systèmes, de composants ou d’unités techniques de véhicules, précise l’association inter-régionale Viapass.
Elle commence par un Y suivi de trois lettres et de trois chiffres.
La plaque professionnelle (exemple : V-AAA-001) est destinée aux carrossiers et aux réparateurs de véhicules. Ils peuvent utiliser la plaque minéralogique un maximum de cinq jours -pas forcément consécutifs- chaque année pour un même véhicule, par exemple pour lui faire passer un contrôle après réparation.
La plaque marchand (exemple : Z-AAA-001) est elle destinée aux grossistes et détaillants en véhicules, qui peuvent l’utiliser à des fins de promotion et de vente de véhicules.
La plaque nationale (exemple : UA-21-AAA) sera elle valable pendant vingt jours calendrier d’affilée. Des personnes physiques ou morales peuvent l’utiliser pour livrer un véhicule ou se rendre avec lui au contrôle technique.
Au 1er janvier 2021, les grilles tarifaires du contrôle technique vont être simplifiées en Wallonie. Actuellement, elles comptent plus de 30 tarifs différents pour un contrôle périodique et plus de 10 sont appliqués pour un contrôle d’occasion.
Le tarif pour les contrôles périodiques sera fixé à 48 euros pour les voitures et à 62 euros pour les camionnettes. Pour les contrôles des véhicules d’occasion, la redevance sera de 72 euros tant pour les voitures que pour les camionnettes. Une réduction de 5 euros sera par ailleurs accordée pour les véhicules 100 % électriques.
Dès le 1er janvier prochain, l’utilisation des ustensiles en plastique à usage unique sera interdite dans les établissements ouverts au public en Wallonie. Il s’agit de lutter contre les déchets, économiser les ressources et favoriser la propreté publique.
Sont concernés les récipients pour boissons, pailles, couverts, bâtonnets mélangeurs, récipients alimentaires, assiettes et tiges pour ballons en plastique à usage unique.
Les établissements ouverts au public concernés sont les établissements horeca (restaurants, snacks, hôtels, brasseries, cafés, friteries, sandwicheries…), les cafétérias/cantines d’entreprises, cantines scolaires, cafétérias club sportif, les marchands ambulants (marchés, évènements, etc.), les biens et services fournis dans le cadre d’évènements, y compris les concerts et les animations culturelles et les dégustations culinaires offertes aux clients dans certains magasins.
BRUXELLES 27/12 (BELGA) =
Les tarifs sociaux pour l’énergie seront en hausse au 1er janvier 2021, de 10 % pour l’électricité et de 15 % pour le gaz naturel.
Les tarifs sociaux sont les plus bas du marché. Ils sont octroyés à des personnes ou ménages aux moyens limités comme des personnes handicapées ou recevant le revenu d’intégration.
Les tarifs sociaux suivent les prix du marché. Les hausses de prix des tarifs sociaux sont toutefois plafonnées.
La CREG (Commission de Régulation de l’Electricité et du Gaz) fixe ces taux tous les trimestres, contre tous les six mois auparavant. Les fluctuations de prix sont dès lors suivies plus rapidement.
Les véhicules de société seront plus lourdement taxés à partir de 2021. C’est une conséquence de l’ajustement annuel de la norme CO2 dans le calcul de l’avantage imposable.
Quiconque reçoit une voiture de société de son employeur ou de son entreprise et peut également utiliser celle-ci pour ses déplacements domicile-travail et ses déplacements privés est imposé sur cet avantage. L’impôt n’est pas calculé sur la prestation effective, mais sur une somme forfaitaire : l’avantage en nature.
L’un des éléments de cette formule de calcul est les émissions de CO2. Concrètement, cela se fait en comparant les émissions de la voiture de société avec les émissions moyennes des voitures nouvellement immatriculées.
Puisque les voitures sont devenues plus respectueuses du climat, ces émissions de CO2 de référence sont désormais également en baisse, selon les chiffres du SPF Finances. Pour les diesels, ce chiffre passe de 91 à 84 grammes de CO2 par kilomètre, pour les voitures à essence de 111 à 102 grammes.
Cela signifie que les conducteurs d’un véhicule utilitaire voient l’avantage imposable augmenter, ce qui signifie qu’ils devront payer plus d’impôts.
Le montant de l’avantage imposable dépend également de la valeur catalogue et de l’âge du véhicule.
La mesure « cash for car » ne sera plus en vigueur à partir du 1er janvier prochain, après l’annulation de la loi par la Cour constitutionnelle au début de l’année.
Le système « cash for car » permettait aux Belges d’échanger leur voiture de société contre un montant net mensuel pouvant s’élever jusqu’à 700 euros. Il constituait l’un des points de l’accord de l’été 2018 du précédent gouvernement, qui voulait lutter contre les embouteillages et inciter les travailleurs à opter pour des moyens de transport plus respectueux de l’environnement.
En 2019, les syndicats FGTB et CSC ainsi que plusieurs organisations avaient introduit un recours en annulation. Les requérants dénonçaient le fait que « pratiquement aucune cotisation sociale ni impôt ne sera prélevé sur cette rémunération ». Ils estimaient aussi que cette législation ne résoudrait pas les problèmes de mobilité durable, de qualité de l’air ou de réchauffement climatique.
La Cour constitutionnelle a finalement annulé la loi en janvier dernier, estimant que « certains aspects de la mise en œuvre concrète (de la loi) posent problème au regard des principes constitutionnels d’égalité et de non-discrimination ».
A partir du 1er janvier 2021, la limite de 30km/h deviendra la règle en région bruxelloise. Certains axes structurants seront néanmoins considérés comme des exceptions. La vitesse y sera limitée à 50 ou 70 km/h, à condition d’y trouver une indication spécifique.
Par ailleurs, dans les zones de rencontres, la vitesse autorisée sera de 20 km/h.
Tous les habitants de la région capitale auront reçu dans leur boîte aux lettres, au courant du mois de décembre, un document explicatif de ce changement fondamental. « Vous doutez de la vitesse à laquelle vous pouvez roulez ? La règle, c’est 30, sauf indication contraire », précise Elke Van den Brandt (Groen), la ministre bruxelloise de la Mobilité.
Un site didactique est également créé à disposition du grand public sur www.ville30.brussels.
A partir du 1er janvier, en Wallonie, les langes devront être jetés avec les déchets résiduels et plus avec les déchets organiques, à cause des matières plastiques non biodégradables dans leur composition.
Cela évitera la pollution du compost par les micro-plastiques et de devoir retirer ces langes des déchets organiques après collecte, ce qui avait également un impact économique.
Les intercommunales Wallonnes ont publié des messages en ce sens sur leur site internet pour sensibiliser la population. Du côté d’Intradel, on précise que certaines communes franchiront le pas au 1er janvier 2021 tandis que d’autres, dont Liège, prévoient cette adaptation en janvier 2022.
A Bruxelles, les langes n’étaient déjà pas autorisés dans les sacs orange de déchets organiques.
Bpost adaptera ses tarifs pour les timbres à partir du 1er janvier.
Un timbre-poste Non Prior (distribution dans les 3 jours ouvrables), coûtera 1,07 euro par 10 et 1,10 euro à l’unité. Le timbre Prior (avec distribution le jour ouvrable suivant) passera à 1,57 euro par 10 et 1,60 euro à l’unité, précise bpost.
Par ailleurs, le tarif pour affranchir un envoi normalisé vers l’Europe sera de 1,85 euro à l’achat de minimum cinq timbres et 1,91 euro à l’unité. Hors Europe, le tarif international passera à 2,07 euros dès cinq timbres et à 2,13 euros à l’unité.
« Conformément aux années précédentes, la hausse tarifaire moyenne pour 2021 de tous les produits de courrier national sera d’environ 6 % », indique l’entreprise, qui précise que l’impact sur le budget mensuel des ménages restera limité, avec une hausse de 0,2 euro.
Le congé des pères et co-parents à la suite d’une naissance passera de 10 à 15 jours dès janvier. Cinq jours supplémentaires seront encore ajoutés à partir de 2023.
Les pères, ou co-parents, pourront prendre ces jours dans les quatre mois suivant la naissance de leur enfant.
Par ailleurs, le congé de paternité et de naissance accordé aux travailleurs indépendants, aidants et conjoints aidants passera également de 10 jours (ou 20 demi-jours) à 15 jours (ou 30 demi) à partir du 1er janvier 2021. En janvier 2023, ces 15 jours seront de nouveau revus à la hausse, pour être amenés à 20 jours (ou 40 demi), comme prévu dans l’accord de gouvernement.
Un nouveau dispositif de droit passerelle entrera en vigueur au 1er janvier, comme annoncé début décembre par le ministre des PME et des Indépendants David Clarinval (MR). Le dispositif d’aide aux indépendants ne devra plus être prolongé de mois en mois en fonction de l’évolution de l’épidémie de Covid-19.
Deux dispositifs existaient jusqu’ici : le double droit passerelle de crise, qui a été prolongé pour décembre, et le droit passerelle de soutien à la reprise.
Le nouveau dispositif se base sur deux piliers. Le premier, qui établit une mesure temporaire de crise pour indépendants contraints d’interrompre totalement leur activité, entrera en vigueur le 1er février. Le second permettra dès le 1er janvier d’offrir une aide aux indépendants n’ayant pas pu bénéficier précédemment ni du droit passerelle de crise 2020, ni du droit passerelle de soutien à la relance. Cela concerne notamment les professions libérales.
L’indépendant devra notamment démontrer une diminution de 40 % de son chiffre d’affaires au cours du mois civil précédant celui pour lequel la prestation financière est demandée par rapport au même mois civil de l’année de référence 2019.
Quelque 470.000 employés de la commission paritaire 200 (le groupe d’employés le plus important en Belgique) bénéficieront d’une hausse salariale de 0,95 % en janvier 2021, selon le prestataire de services RH Acerta.
Cela signifie une hausse par rapport au 0,8 % d’il y a un an.
L’office belge de statistique Statbel a calculé l’inflation en décembre à 0,41 %. Pour l’ensemble de l’année, le taux d’inflation est de 0,74 % en Belgique. Le taux d’inflation est un élément essentiel pour le calcul des salaires.
L’indexation des salaires dans notre pays diffère d’un secteur à l’autre. Pour certains secteurs, cela se produit presque tous les mois, pour d’autres par trimestre, six mois ou un an. Pour la majorité des salariés, cela se produit en janvier.
Les salaires de plusieurs groupes de travailleurs sont indexés chaque année au premier janvier (CP200, secteur alimentaire, commerce, assurances, etc.). Il s’agit d’une adaptation au coût de la vie, et non d’une augmentation salariale à proprement parler.
Comme l’an dernier, Proximus adaptera certains de ses tarifs à la hausse lors du passage à l’an neuf. Les packs Tuttimus, Familus et Minimus seront notamment plus chers.
Dans le détail, les packs Familus/Tuttimus (sans contenu TV et sans abonnement mobile) passeront de 70,50 à 72 euros, soit plus 1,50 euro/mois ou 18 euros/an.
Par ailleurs, l’augmentation sera limitée à 1 euro/mois pour les packs Minimus (61 euros/mois à partir du 1er janvier 2021), Internet+TV (61 euros) et Telephony+TV (44,99 euros). Idem pour les connexions Internet Comfort (44,99 euros) et Maxi (50,99 euros).
Aucune augmentation n’est prévue pour les abonnements mobiles. Ce qui n’est pas le cas pour la ligne fixe. Son tarif standard passera de 23,63 euros à 24,13 euros, en hausse de 50 cents/mois ou 6 euros/an. Le prix d’un appel national à partir de la ligne fixe s’élèvera, lui, à 23 cents au lieu de 18.
Dès janvier les voyageurs pourront acheter, via l’application SNCB, une version numérique des pass à compléter, à savoir les Standard Multi, Youth Multi et Local Multi.
Le pass devra être complété préalablement sur le smartphone puis présenté à distance à l’accompagnateur de train.
Dans le but d’encourager le plus possible l’utilisation des pass digitaux à compléter, ceux-ci seront moins chers que leur version papier dès l’entrée en vigueur des adaptations tarifaires annuelles en février 2021. Un pass « Standard Multi » numérique coûtera trois euros de moins que sa version papier, un « Youth Multi » deux euros de moins et un « Local Multi » un euro de moins.
Le prix du paquet de cigarettes va augmenter l’an prochain, ainsi que les années suivantes. Le prix d’un paquet de cigarettes (20 pièces) passera ainsi à 7,50 euros en 2021 (contre 6,80 actuellement).
L’impact sur un paquet de 50g de tabac à fumer sera une augmentation de 1,47 euro : un paquet de 9,70 euros en 2020 coûtera 11,17 euros en 2021.
Cette évolution, dont le but est d’encourager la diminution de consommation, fait partie d’une série de mesures fiscales validées par le gouvernement fédéral. Une augmentation supplémentaire des accises sur les produits du tabac est prévue pour les années 2022, 2023 et 2024.
Les pensions les plus basses connaîtront un relèvement progressif dont la première phase débute ce 1er janvier 2021. Ce relèvement s’accomplira en quatre phases, à chaque premier janvier de 2021, 2022, 2023 et 2024.
Près de 815.000 citoyens bénéficieront de l’augmentation du montant de leur retraite à partir du 1er janvier. La hausse de la pension minimum vers 1.500 euros nets pour une carrière complète, telle que prévue dans l’accord de gouvernement, s’applique aux travailleurs salariés, aux travailleurs indépendants et aux travailleurs fonctionnaires statutaires, soit plus de 706.000 bénéficiaires. Le relèvement de la Garantie de Revenus Aux Personnes Agées (GRAPA) concerne quant à elle 106.000 personnes.
Le gouvernement fédéral a décidé d’augmenter graduellement les allocations minimales de chômage pendant la législature. A partir du 1er janvier prochain, elles progresseront de 1,125 % à chaque nouvelle année, hors indexation automatique et enveloppe bien-être.
Selon le ministre de l’Economie et du Travail, Pierre-Yves Dermagne (PS), l’augmentation atteindra environ 16 % sur la législature, compte tenu des hypothèses d’indexation et de répartition de l’enveloppe bien-être.
Au 1er janvier 2021, le minimum pour un cohabitant avec charge de famille progressera de 15,1 euros, pour atteindre 1.357,22 euros bruts mensuels. Pour un isolé, les allocations minimales de chômage progresseront de 12,37 euros, à 1.111,9 euros bruts mensuels.
Les pompiers de la zone Hemeco ont dû intervenir à plus d’une trentaine de reprises de 9h à 18h pour tronçonner des arbres qui étaient tombés sur la chaussée.
« Pas de grandes interventions car il s’agissait souvent de branches tombées sur la route ou d’un petit feu de cheminée à Nandrin qui a été rapidement maîtrisé », indiquait le centraliste de la zone de secours Hemeco.
C'était le cas par exemple pour les arbres tombés à Marchin, à Modave, à Huy, à Nandrin, à Bas-Oha et à Vierset-Barse.
A Huy, rue Pré sur la Fontaine, c'était un sapin déraciné qui menaçait de tomber sur une maison qui a nécessité l'intervention des pompiers. Il y a eu aussi une chute de sapin rue de Jehay à Ampsin.
Il n'y a pas eu de blessé ni de dégâts matériels pour des véhicules en stationnement.
Du côté de la zone Hesbaye (Waremme-Hannut), il y a eu une quinzaine d’interventions pour des arbres tombés sur la chaussée ou quelques problèmes de toiture mais sans gravité.
Là non plus pas de blessé ni de dégâts pour des voitures en stationnement.
A Huy, le bourgmestre faisant fonction, Eric Dosogne, a annoncé sur sa page Facebook ce dimanche matin la fermeture des parcs, des bois et des avenues arborées pour éviter tout accident qui n’est pas arrivé heureusement. Il faut dire que le public est resté chez lui en grande majorité vu la météo.
L’intensité des vents a diminué en soirée et malgré les fortes pluies, pas de caves inondées ni de routes inondées.
Messages sur les réseaux sociaux
Plusieurs cambriolages ou tentatives sur le Condroz , Nandrin ,Villers le Temple, Clavier, Ochain !!!!
Soyez prudents et vigilants
C’est un cap symbolique qui vient d’être passé. La commune de Ferrières a dépassé la barre des 5.000 habitants, et compte précisément cette année 5.015 âmes selon les informations communiquées aux autorités locales.
Cette augmentation n’est d’ailleurs pas sans conséquence au niveau politique. Comme le prévoit le « Code de la démocratie locale », deux nouveaux sièges seront installés au conseil communal, qui comptera dès lors 17 conseillers dès les prochaines élections. Si la situation n’évolue pas et que le nombre d’habitants reste stable, le collège échevinal aura également un échevin supplémentaire dès 2024 et passera de cinq à six membres.
« Il y aura d’autres conséquences concernant les subventions et les dotations qui suivent également », précise le bourgmestre ferrusien Frédéric Léonard (PS). Selon les estimations de l’institut de statistique wallon WalStat, la commune condrusienne devrait d’ailleurs atteindre les 5.361 habitants en 2034.
Par Ro.Ma.
Article complet Sudinfo Clic ici
Comme dans beaucoup de communes wallonnes, la crise que nous traversons incite les mandataires claviérois à la prudence pour les exercices à venir. Le budget 2021 présente toutefois un boni à l’exercice propre de 142.978,46€ (+85.000€ par rapport à 2020) et un boni cumulé de 825.538,12€ (+107.500€ par rapport à 2020).
Le résultat positif à l’exercice propre permet à la commune de dégager 100.000€ pour le service extraordinaire.
2021 sera l’année de la concrétisation pour plusieurs projets inscrits aux budgets antérieurs. En plus des 17 projets différents inscrits au budget extraordinaire 2021, on va ainsi retrouver une dizaine de travaux qui ne sont pas terminés (ou qui n’ont pas débuté) comme la restauration de la Chapelle Saint-Fontaine (+ mise en valeur du cimetière), l’agrandissement de l’école de Borsu, le hall sportif polyvalent et la rénovation profonde de la piscine en plein air d’Ocquier.
« On espère passer le cahier des charges du hall sportif aux entrepreneurs dans le premier trimestre 2021 », annonce le bourgmestre Philippe Dubois. « On arrive au bout du dossier, mais la crise a ralenti les choses. On espère que les travaux pourront débuter l’année prochaine ».
Pour rappel, ce projet à 5 millions d’euros prévoit la construction d’un complexe avec un vestiaire pour le club de foot, un hall sportif et une salle communale, à proximité des terrains de foot de la Clavinoise. Le dossier est supracommunal puisqu’il inclut la commune d’Ouffet. La part communale de Clavier s’élèvera autour d’un million d’euros.
En 2021, le dossier administratif de la restauration de la Chapelle Saint-Fontaine (415.000€) devrait être clôturé et les travaux pourraient débuter fin 2021-début 2022. L’agrandissement de l’école de Bois-et-Borsu devrait quant à lui toucher à sa fin. « Le projet comprend un nouveau réfectoire, des sanitaires, un préau et des classes supplémentaires », rappelle le bourgmestre. « On espère une rentrée en septembre ».
Concernant la rénovation de la piscine en plein air d’Ocquier (1.560.000€), le dossier en est à ses débuts mais Philippe Dubois assure qu’une attention particulière lui sera accordée en 2021. Les travaux ne devraient cependant pas débuter l’année prochaine.
Au niveau de l’entretien des voiries, les grands projets sont la réfection des rues de la Gendarmerie, du Vicinal et Vieille Chaussée à Clavier-Station, et de la rue Fontenoy à Fontenoy.
Par P.Tar.
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Quai de Wenigumstadt.
D.R.
Pour faire face aux investissements considérables liés à la construction de la nouvelle école de Bosson, les autorités de Ferrières ont décidé de jouer la carte de la frugalité budgétaire pour l’année 2021. Il faut dire que ce projet de près de 4 millions (géré par l’intercommunale Ecetia, qui mettra en location les espaces à la commune) va impacter fortement les finances ferrusiennes.
« La stagnation de nos recettes force notre commune à limiter ses dépenses », indique l’échevin des Finances Yvon Rollin (cdH). En effet, l’« effondrement » des ventes de bois ne rapporte actuellement que 1.000€ à la place des 235.000 de l’année 2019 ! Une première solution a été trouvée en augmentant l’impôt des personnes physiques, qui passe de 8 à 8,5%... mais cette hausse ne rapporterait au final que 40.000€.
Outre les travaux habituels, la commune se limite donc pour 2021 à quelques projets déjà sur les rails et a élaboré un budget extraordinaire de 1.636.982€.
Il y aura notamment l’aboutissement du plan PIC (720.339€) avec la réfection des rues de Mont Forêt, Mont Legrand et Source de Harre, et la réfection du mur du cimetière de Ferrières. 2021 sera aussi l’année du réaménagement du parking rue Pré du Fa (230.000€), de l’installation de panneaux photovoltaïques sur les écoles de Xhoris et de Bosson (36.000€)
Le dossier de l’espace récréatif rue Es Spita devrait se concrétiser avec l’achat de terrains (110.173€). L’aménagement de la place de Chablis poursuivra également son cours.
Petite nouveauté de ce budget : une somme de 40.000€ est prévue pour la réfection du clocher de l’église de My.
« Une étude a été commandée : il est important d’éviter une réfection complète comme ce fut le cas pour l’église de Ferrières, et de prendre en compte la sécurité des personnes et notamment des enfants de l’école de My (qui se situe à côté) », explique l’échevin des Finances. Sceptique quant à plusieurs dépenses et au bien-être du personnel, l’opposition Envie Commune s’est abstenue lors du vote budgétaire.
C’est un Noël qui restera dans les mémoires : une fête confinée en situation de pandémie, sans grandes réunions familiales. Les consignes ont été données début décembre : Noël 2020, c’est avec sa bulle et maximum un invité. À la suite d’un débat lancé par le bourgmestre de Hamoir, Patrick Lecerf (il n’a pas répondu à nos appels) sur le respect des règles covid, nous avons voulu demander aux élus de Huy-Waremme s’ils avaient respecté les mesures sanitaires lors de leur réveillon… et c’est visiblement le cas ! Certains élus ont opté pour un tête-à-tête romantique, d’autres pour un moment avec les enfants… Un député a pris l’apéro en visioconférence avec sa famille. Un autre élu hutois a quant à lui passé sa soirée au centre fermé de Vottem. Ils sont également nombreux à avoir opté pour des dîners d’artisans locaux. Petite sélection de réveillons de mandataires de Hesbaye, du Condroz et de la vallée mosane.
Une bulle familiale de cinq… ou plutôt six depuis l’adoption de la jeune chienne Yutah. Le bourgmestre d’Amay Jean-Michel Javaux (Écolo) a passé Noël avec sa femme et ses trois enfants.
« C’était très gai. On a passé un moment de qualité en famille. On a par exemple fait un blind test avec des chansons symboliques de l’année 2020. Celui qui trouvait allait chercher son cadeau », explique l’ancien co-président d’Écolo, qui a reçu notamment une écharpe du Standard de Liège. « On a vraiment eu la chance d’être ensemble, et on a une pensée pour ceux qui ont été seuls en ce soir, et notamment les grands-parents ».
C’est désormais une tradition pour le député fédéral hutois le soir de Noël. « Je suis allé au centre de Vottem. J’y vais tous les ans, parfois même avec ma famille », explique Samuel Cogolati (Écolo), qui se dit « convaincu qu’il existe des alternatives à l’enfermement ». « En tant que parlementaire, j’ai eu le droit d’aller à l’intérieur du centre fermé. J’ai pu rencontrer une douzaine de personnes, qui résident dans le centre et qui allaient être expulsées. C’était un moment émotionnellement fort ». Juste avant cette visite, le député fédéral avait cuisiné une grande empenada pour une banque alimentaire venant en aide aux démunis : « C’était la première fois que je participais à cette action. C’est une amie qui m’a contacté. J’ai directement accepté et j’ai suivi une recette de ma maman ». Après son passage au centre fermé de Vottem, le parlementaire est retourné à Huy et a passé le réveillon avec sa compagne.
Le ministre wallon des Pouvoirs locaux et du Logement, Christophe Collignon (PS), a passé son réveillon chez lui à Huy, en compagnie de sa compagne, sa fille et sa belle-fille, à savoir sa bulle quotidienne.
« C’était un Noël très calme. Cela change par rapport aux autres années. D’habitude, on passe la soirée avec la famille, mais également des amis. Ce jeudi, on avait pris un plat à emporter de chez « Un Autre Monde », avec du vin. On a écouté de la musique : d’abord des chansons de Noël, puis chacun a mis les morceaux qu’il aimait et c’était très amusant », explique le bourgmestre en titre de Huy.
Depuis le début de la pandémie, le député wallon Rodrigue Demeuse (Écolo) passe ses journées en visioconférence pour des commissions parlementaires, des réunions… et Noël également ! « On a fait un Zoom avec ma famille », explique le Hutois, qui a reçu de la part de sa compagne de quoi s’améliorer en cuisine. Une bonne résolution 2021 !
Take-away du P’tit Gaby et du Golf, visionnage de la « parade de Noël de Hannut », films sur Netflix… Le député-bourgmestre Manu Douette (MR) est resté avec sa famille à Hannut pour le réveillon. « Noël est un jour où je suis 100% avec mes enfants et ma femme. C’est vraiment un moment qu’on apprécie beaucoup ».
L’eurodéputé-bourgmestre d’Anthisnes Marc Tarabella (PS) a passé Noël avec sa compagne et son fils… et a reçu un présent de circonstance. « J’ai reçu un pull de Noël, et mon fils a eu le même. Il est très chaud et confortable ». Et la soirée s’est finie avec une traditionnelle bûche… et un film de Louis de Funès.
Il est connu pour aimer la fête. Le député fédéral et échevin waremmien Hervé Rigot (PS) a passé son réveillon en couple… et en musique. « Je me suis très bien amusé avec ma compagne. On a fait un karaoké, un blind test et des jeux de société... bref une bulle d’oxygène ! Pendant la journée, on a téléphoné à des personnes seules qu’on connaît ».
Un réveillon 100 % hutois pour le bourgmestre ff Éric Dosogne (PS) ! « J’ai mangé local, à la maison avec mon épouse et mon fils. On a pris un plateau de fromages de « Le Bonheur est dans Le Pré », avec de la charcuterie de Côte à Côte. Pour le dessert, on avait de la glace de chez Pingouin ».
Le député wallon et ancien bourgmestre de Marchin Éric Lomba (PS) a voulu respecter la coutume.
« On a mangé une dinde de Noël, pour la tradition. Le 25, on s’est baladé à Marchin.
Je regrette qu’il n’y ait pas eu de neige. Le Noël blanc, ce sera pour la prochaine fois ».
Article de RO MA
La nuit redoutée s’est finalement passée sans encombre dans l’arrondissement de Huy-Waremme. Aucune lockdown party n’a été constatée selon nos renseignements. Le bourgmestre faisant fonction de Huy, Éric Dosogne (PS), nous confirme qu’« à part des problèmes mineurs liés à du tapage nocturne, tout s’est bien passé » au niveau de la Ville de Huy.
Idem du côté de la Zone Hesbaye-Ouest, où on évoque une « nuit très calme » sans intervention liée au respect des mesures covid. Dans la zone voisine (Hesbaye), même constat. À l’exception de « quelques pétards dans certains quartiers de Waremme mais qui n’ont pas duré », aucun problème n’a été signalé. « Les gens ont fait preuve de sagesse et ont respecté les règles. On peut remercier la population hesbignonne », souligne Jamers André, chef de corps de la Zone de Hesbaye.
Par Ro.Ma.
Le nombre moyen d’infections quotidiennes au coronavirus est de nouveau en baisse, avec 2.378 nouveaux cas quotidiens sur la période du 16 au 22 décembre (-6 % par rapport à la période de calcul précédente), ressort-il samedi des dernières données publiées par l’Institut de santé publique Sciensano. On fait le point sur l’incidence dans chaque commune ce 26 décembre.
Il va faire particulièrement mauvais dans les prochaines heures. Le SPF Intérieur a donc activé temporairement le numéro 1722 pour les interventions de pompiers non-urgentes samedi soir
L’Institut royal météorologique de Belgique (IRM) a émis un avertissement de risque de tempête ou de précipitations abondantes.
Dans les prochaines heures, d’importantes chutes de pluies sont attendues. Il pourrait égaelement neiger par endroits et le vent sera également de la partie. Les rafales, d'abord de de l'ordre de 60 km/h en soirée, augmenteront pour atteindre des valeurs de l'ordre de 70 à 80 km/h en fin de nuit dans l'est du pays, et de 80 à 90 km/h dans l'ouest.
Le SPF Intérieur a donc activé temporairement le numéro 1722 pour les interventions de pompiers non-urgentes samedi soir.
Le 1722 permet de décharger le numéro d’urgence 112 en cas de tempête et d’éviter que des personnes dont la vie est en danger potentiel ne doivent attendre inutilement.
En août 2019, le conseil communal d’Ouffet approuvait le programme stratégique transversal, qui reprenait l’ensemble des objectifs que les autorités souhaitaient mener à bien avant la fin de la législature en 2024.
Un des volets concerne la promotion de la mobilité douce, avec pour projet la création de liaisons « mode doux » entre les 3 villages de la commune.
Ce mardi, les conseillers communaux ont voté le budget 2021. Parmi les dossiers qui devraient se réaliser en 2021, on retrouve justement la voie lente entre Ouffet et Warzée. Les deux villages sont reliés par la N66, qui est de plus en plus empruntée par les cyclistes.
C’est la première étape d’un processus global visant à développer le maillage de mobilité douce entre Ouffet, Warzée et Ellemelle. En annexe du budget, les élus ont voté en faveur du dossier de candidature au projet « Communes pilotes Wallonie cyclable », introduit en vue de réaliser un tronçon de 970m constituant une partie de la liaison en site propre entre Ellemelle et Warzée.
« Les modes doux, c’est un objectif futur pour essayer de limiter les déplacements en véhicule », rappelle la bourgmestre Caroline Cassart. « J’ai toujours dit qu’on devrait avoir une attention particulière à cette problématique sous cette législature et sous la prochaine. Si on veut modifier notre comportement, il faut nous donner les moyens ».
Plutôt que de développer des tronçons à droite et à gauche sans ligne conductrice, la commune veut avoir une vue d’ensemble qui prend en compte la présence des arrêts de bus et des écoles sur l’itinéraire, mais aussi l’aspect transcommunal. « Plus notre projet a du maillage et des avantages, plus il a de chance d’être repris ».
Caroline Cassart en a profité pour faire le point sur l’ensemble des dossiers « mode doux » qui seraient susceptibles d’être retenus. « Il y a d’abord le dossier à Warzée, qui va de chez Demarcin jusqu’au carrefour Au Chêne. C’est une promesse de subside de 100.000€, 75% du coût total. Après, c’est le dossier du carrefour Au Chêne jusqu’à Ellemelle. Il pourrait être subsidié jusqu’à 150.000€. Le dernier dossier va du Tige d’Oneux vers la rue du Moulin. Il y a un sentier qui n’est pas matérialisé à l’heure actuelle. C’est une liaison qui permettra de se rendre à Ouffet ».
En 2019, l’opposition « Agir ensemble » s’inquiétait du manque de vision globale du projet. « Ceci m’a l’air beaucoup plus cohérent que le projet de ligne autonome le long de la grand route. On soutient pleinement le projet », déclare Benoît Jadin.
La commune d’Ouffet a présenté un budget volontairement prudent, avec un boni à l’exercice propre de 103.414€. « Il est temps de veiller à faire des économies car nous avons pas mal investi ces dernières années avec la Salle aux Oies et la Maison de Village à Ellemelle », a prévenu la bourgmestre Caroline Cassart. « Nous avons à l’heure actuelle des finances relativement saines mais nous devons être attentifs ».
Peu de dossiers sont prévus à l’extraordinaire. Les réfections des rues Halbadet, Tige Pirette et des Fossés sont prévues au budget. 74.500€ sont prévus pour le remplacement de l’éclairage public par du LED à Ellemelle et Béemont, qui se fera sur deux années. 8.500 € sont mis au budget pour la réhabilitation de la statue de la Grand Place.
par P.Tar.
Ce joli courrier sera destiné aux aînés qui résident dans l’une des deux maisons de repos de la commune : celle du Doux Repos et du Berny. « Parce que la solitude en cette période de fin d’année pèse encore plus sur nos seniors et que certains ne pourront pas voir leur famille, nous souhaitions leur apporter un peu de baume au cœur », indique Virginie Defrang-Firket.
La bourgmestre, qui n’en revient pas, est ravie de voir l’ampleur qu’a pris ce projet. « Nombreux sont ceux à avoir adhéré au projet : écoles, mouvements de jeunesse, garderies, conseils communaux des enfants et des aînés, etc. J’étais très émue en lisant certaines cartes. Ils ont vraiment mis du cœur à l’ouvrage. »
Au vu du succès de l’opération, chaque résident des maisons de repos recevra plusieurs cartes ce 24 décembre. Le surplus sera distribué aux personnes isolées relayées par le CPAS ainsi qu’au service de gériatrie du Centre Hospitalier du Bois de l’Abbaye, comme souhaité par les jeunes du conseil communal des enfants
« Qui dit année particulière, dit Noël particulier !
À cette occasion, j’ai voulu marquer le coup !
En espérant que cette vidéo vous donne le sourire, je souhaite à toutes les Awansoises et tous les Awansois un Joyeux Noël »
En tout cas de notre côté, Thibaud Smolders a effectivement réussi à nous donner le sourir !
Avec cette quasi parfaite imitation de Hugh Grant dans le célèbre film de Noël « Love Actually »
Article Complet Sudinfo clic ici
C'était un 28 décembre 2011 Père Noël jouait les prolongations rien que pour les enfants venus au spectacle de Tchantchè organisé par les amis de la Romane .
Et dans une grande générosité toutes et tous ont été récompensés petits et grands ont reçu des sachets de bonbons et plusieurs entrées pour le cinéma .
Comme quoi même passé la date le père Noël est toujours très généreux et les absents ont toujours tords
Depuis juin 2019, un citoyen qui décide de rénover son habitation pour en améliorer l’efficacité énergétique peut accéder à des primes wallonnes. Ces primes sont 4 fois plus élevées que sous l’ancien système, mais il est impératif de réaliser un audit de son logement avant de pouvoir en bénéficier. Cette étape préliminaire permet de cibler les faiblesses de l’habitation et de savoir ce qu’il faut rénover prioritairement.
Malheureusement, cet audit obligatoire coûte cher (environ 1.000€) et peut être un frein pour les familles avec des plus petits revenus. Dans l’optique de briser ce barrage, la commune d’Ouffet a décidé d’alléger la facture de ses citoyens via un subside communal complémentaire pour le financement d’audits-logement PAE3.
« C’était dans notre programme, il y a une vraie volonté de prendre une mesure environnementale », souligne la bourgmestre Caroline Cassart. « Les primes pour les rénovation énergétique ont fortement augmenté depuis 2019, mais l’audit payant reste parfois un frein, même si une partie est remboursée par la Région wallonne de 110 à 660€, selon les niveaux de revenus. On donne donc le même montant que la Région wallonne, le même subside, mais on plafonne l’intervention communale de sorte que le total des primes et des remboursements s’élève à maximum 90% de la facture totale ».
Un subside de plusieurs centaines d’euros
Concrètement, cela signifie que si votre audit vous coûte 1.000€ et que la Région vous donne un subside de 500€, la commune vous donnera 400€ pour ne pas dépasser le plafond de 90% de la facture totale. Il ne vous restera plus qu’à payer les 10% restants du montant total. Par contre, si votre audit vous coûte 1.000€ et que la Région vous octroie par exemple un subside de 350€, la commune vous donnera une somme équivalente de 350€.
« C’est une mission qui se veut proactive, on se veut précurseurs en matière d’économie d’énergie », déclare avec ambition la bourgmestre. « Une énergie qui n’est pas consommée est une énergie qu’on ne doit pas produire. C’est très important pour le futur de nos habitants ».
Une somme de 2.000€ est prévue au budget 2021 pour ce subside, mais Caroline Cassart assure que si le projet rencontre un certain engouement, la somme pourra être augmentée via des modifications budgétaires.
Pour rappel, le secteur du logement est responsable de plus de 20% des émissions de gaz à effet de serre en Wallonie
Article de P TAR
D’importantes chutes de neige sont attendues dans les Ardennes.
Les automobilistes sont invités à se montrer prudents samedi matin, soir et durant toute la journée de dimanche en provinces de Liège, Namur et Luxembourg. Les routes risquent d’être rendues glissantes par la formation de plaques de givre, voire par des chutes de neige, avertit vendredi l’Institut royal météorologique.
En Ardenne, au dessus de 400 mètres, l’IRM prévoit encore un risque de quelques averses de neige ce vendredi soir et durant la nuit, avec une accumulation parfois de plusieurs centimètres en provinces de Liège et Luxembourg.
Dans le courant de la nuit de samedi à dimanche, et surtout la journée de dimanche, d’importantes chutes de neige sont prévues en Ardenne avec, par endroits, la possibilité d’une couche de neige fraîche autour de 15 ou 20 cm.
Ce soir, nous conserverons un risque de quelques averses de pluie, essentiellement dans l’extrême ouest et à la côte. Ailleurs, le temps restera généralement sec avec par endroits de larges éclaircies. Cette nuit, nous prévoyons aussi parfois de larges éclaircies, mais également des périodes plus nuageuses dans lesquelles des ondées hivernales ou de neige sur les hauteurs pourront se développer. En Ardenne, le temps deviendra brumeux et du brouillard givrant pourra localement se former. Les minima varieront entre -2 degrés en Hautes-Fagnes, autour de +1 degré dans le centre et +4 au littoral. Le vent de nord-ouest sera faible et reviendra au sud-ouest. En fin de nuit, le vent deviendra modéré dans la plupart des régions. À la mer, le vent modéré reviendra du nord-ouest à l’ouest.
Samedi, le temps sera d’abord généralement sec avec des nuages et des éclaircies en alternance ; le matin tôt, les éclaircies pourront même être localement larges en Basse et Moyenne Belgique. En journée, le ciel s’ennuagera à partir de l’ouest et dans le courant de l’après-midi des faibles pluies par intermittence suivront. En Ardenne, il s’agira de faibles chutes de neige. Les maxima seront compris entre 0 degré en Hautes-Fagnes, autour de 5 degrés dans le centre et 8 degrés au littoral. Le vent sera généralement modéré, et progressivement assez fort à la mer, de sud-ouest. L’après-midi, les rafales pourront atteindre les 55 km/h.
Le soir et durant la nuit de samedi à dimanche, le ciel deviendra très nuageux avec parfois des faibles pluies ou bruines. En Ardenne, il s’agira de neige fondante ou de neige. En fin de nuit, les précipitations s’intensifieront sur le nord-ouest du pays. Les minima varieront entre 0 degré en Haute Ardenne, autour de 4 degrés dans le centre et 7 degrés à la mer. Le vent sera assez fort et plus tard parfois fort de sud. Les rafales augmenteront de 60km/h en soirée vers 75 km/h en fin de nuit.
Dimanche, une perturbation active, associée à une dépression de tempête au nord de l’Écosse, traversera notre pays à partir de l’ouest. Le ciel sera donc couvert avec des précipitations abondantes ; celles-ci seront sous forme de pluie en plaine et sur le centre du pays, alors qu’en Ardenne (probablement au-dessus de 300-400m d’altitude), il s’agira de chutes de neige (mouillée). Sur le versant sud du relief ardennais, une accumulation de 15 à 20 centimètres ne sera pas exclue et d’importantes congères pourraient alors se former. Les maxima seront compris entre 0 ou 1 degré sur les hauteurs de l’Ardenne à 7 ou 8 degrés en bord de mer. Le vent de sud à sud-ouest sera généralement fort, voire localement très fort, avec des rafales entre 80 et 100 km/h.
Monsieur Jean-Louis LENAERTS
Né 02/01/1951 (Liege)
Décédé 24/12/2020 (LIÈGE)
Domicilié(e) à Rotheux-Rimiere
En mon nom et au nom de l'équipe du Blog de Nandrin , nous présentons nos plus sincères condoléances à la famille .
Pour la seconde fois, les conseillers communaux se sont réunis ce mardi soir en vidéo-conférence.
Longuement et de manière pédagogique, le bourgmestre Eric Thomas (OSE) a détaillé pendant plus de 2 heures le budget de l’année 2021. En dépit de la crise sanitaire, celui-ci est en équilibre. À l’ordinaire, il affiche un boni de 106.479 euros, soit des dépenses pour 4, 9 millions et des recettes de 5,069 millions.
À l’extraordinaire, 3.5 millions seront investis en 2021. « Sur ces 3,7 millions, 2.7 millions sont des reports de 2020. Les nouveaux investissements s’élèvent à 846.635 euros qui seront consacrés à 25 nouveaux projets axés sur la sécurité et la transition énergétique », a commenté le bourgmestre.
Une grande partie de ce montant sera consacrée à la sécurisation de la traversée de Vierset pour laquelle 200.000 euros seront consacrés à des aménagements routiers : plots de croisement, plateau, marquage au sol, élargissement de la zone 30 à tout le centre de Vierset. La volonté de la majorité est de ralentir à tout prix la vitesse.
« Cela devient intenable, il faut réagir », a lancé le mayeur tout en en précisant qu’il s’agissait d’un investissement sur fonds propre. La volonté est d’aboutir pour la fin 2021. L’avant-projet sera prochainement présenté à la CCATM et au fonctionnaire-délégué de la Région.
Autres investissements conséquents qui seront consentis en 2021 : l’achat de deux nouveaux radars (72.000 euros), la poursuite du renouvellement de l’éclairage public (120.000 €), l’achat de 2 nouvelles bulles à verre enterrées (17.000 €), elles seront placées dans le hameau de Rausa, des travaux d’isolation à l’école des Gottes (50.000 euros) et l’achat d’un module street work out pour le complexe sportif (12.000 €)
De nouvelles primes seront aussi octroyées en 2021 : une prime vélo pour laquelle un montant de 6.000 euros a été inscrit au budget, les conditions et modalités d’octroi doivent encore être définies. À cela s’ajoute une prime de 10 euros sur l’affiliation à l’hélicoptère de secours. Laquelle, rappelons-le, s’élève à 40 euros/famille. « C’est une façon pour la commune de soutenir l’hélicoptère de Bra-sur-Lienne », a appuyé l’échevin Dal Molin.
Enfin, une prime sur les langes de 20 €/an sera octroyé par enfant de 0 à 3 ans. À Modave, cela représente actuellement 365 enfants.
Dans le cadre de la crise covid, un nouveau chèque de 15 euros sera offert aux citoyens, peu importe l’âge. Il sera distribué en février « dès que la tutelle aura approuvé notre budget », il sera valable jusqu’au 31 août, a précisé Eric Thomas qui a aussi annoncé, que compte tenu des mesures sanitaires, il n’y aurait pas de fête du personnel en janvier prochain. Celle-ci sera remplacée par 2 chèques cadeau de 40 euros qui seront offerts à l’ensemble du personnel, cela représente un peu plus de 80 personnes. Ils seront distribués en janvier.
Dans l’opposition, Pierre Crochet (POM) s’est notamment réjoui que l’amélioration des bâtiments fasse partie du budget et que la majorité poursuive le placement des bulles enterrées. Serge Robert (Union Citoyenne) s’est inquiété de ne voir aucun projet inscrit concernant la salle « Les Echos du Hoyoux » et la maison voisine. Ces deux bâtiments font partie d’un projet PCDR « qui n’est pas la priorité en 2021 mais on espère une signature le plus vite possible pour le cœur de Modave Village », a reconnu le bourgmestre.
Le budget a été approuvé à l’unanimité.
Par M-Cl.G.
Comme chaque année, seuls les supermarchés indépendants ou franchisés risquent d’ouvrir durant cette journée de Noël.
C’est précisément le cas des différents magasins Carrefour.
Si les hypermarchés sont fermés, certains franchisés, ouverts le dimanche, pourraient ouvrir leurs portes ce vendredi
Vous pouvez cliquer ici pour voir si le magasin près de chez vous est ouvert ce vendredi
Si la majorité des enseignes sont fermées en cette journée de fête, certains magasins vous ouvrent quand même leurs portes, avec des horaires adaptés.
Les magasins Colruyt : comme les dimanches, tous les magasins seront fermés.
Les magasins Okey et Spar prendront également congé.
Voici ce qu’annonce aussi la direction sur son site internet : « Votre magasin Colruyt vous accueille de 8 h à 20 h les mercredis 23/12 et 30/12, et de 8 h à 18 h les jeudis 24/12 et 31/12.
Le samedi 2 janvier, nous prendrons un jour de repos supplémentaire, mais votre magasin Spar vous ouvre grand ses portes. Nous nous ferons un plaisir de vous accueillir à nouveau dès le lundi 4 janvier. »
Les magasins Delhaize : la plupart des magasins Delhaize fermeront leurs portes.
Mais, certains Proxy et AD pourraient rester ouverts, surtout en matinée. Nous vous invitons à consulter la liste des magasins ouverts près de chez vous sur le site internet du groupe, ici.
Chez Match et Cora, les hypermarchés et supermarchés seront fermés mais les magasins habituellement ouverts le dimanche pourraient l’être en ce 25 décembre. Vous pourrez savoir ici si le magasin près de chez vous est ouvert.
Les magasins Aldi, Macro et Lidl seront fermés, contrairement aux Intermarché Contact et Super qui pourraient être ouverts, selon la volonté des chefs d’entreprise indépendants. Les horaires peuvent être exceptionnellement adaptés les veilles de jour de Noël et de l’An neuf soit les 24 et 31 décembre.
Concernant les autres grandes enseignes, les magasins Ikea resteront fermés durant toute la journée. La majorité des centres commerciaux de Wallonie et de Bruxelles seront également portes closes.
La majorité des centres commerciaux de Wallonie et de Bruxelles resteront fermés les jours de Noël et de Nouvel An.
Comme d’habitude lors des jours fériés, les administrations et les banques seront fermées (aussi le 26 décembre). C’est aussi le cas pour les bureaux de poste, mais certains points Poste resteront tout de même accessibles dans les magasins de proximité qui ouvriront leurs portes.
Enfin, les pharmacies seront également fermées, comme lors de chaque jour férié. Il faudra donc se tourner vers les pharmacies de garde en cas de besoin.
Coronavirus oblige, il n’y a pas de marché de Noël, pas de plaisirs d’hiver, ni de village de Noël Cette année.
Les Plaisirs d’Hiver à Bruxelles sont ouverts de 12 à 22h ce mercredi.
Pairi Daiza, qui d’ordinaire est ouvert le 25 décembre, a fermé ses portes depuis plusieurs mois en raison de la crise sanitaire.
Thierry Vincent, président du club de football de Hamoir, alias Tatam, a le coeur sur la main. Il a décidé cette année d’organiser une distribution de repas aux personnes isolées de Hamoir et de Durbuy.
« Au départ, nous voulions organiser un souper au hall omnisports de Hamoir pour tous les isolés avec une animation mais le coronavirus en a décidé autrement. Finalement, nous allons distribuer ces repas en ce jour de réveillon de Noël. Ce n’est peut-être pas plus mal car nous allons rencontrer directement les personnes isolées, tout en respectant les mesures sanitaires. Le côté humain est important. Je connais de nombreuses personnes âgées isolées à qui je vais apporter ce repas. J’aurais voulu faire plus mais les conditions actuelles ne l’ont pas permis. C’est une année test et on recommencera en 2021 », promet Thierry Vincent.
Au total, ce sont 115 repas qui sont distribués ce jeudi. Les préparatifs ont eu lieu ce mercredi au hall omnisports de Hamoir avec son gérant, Rony, aidé par le traiteur Xavier Colson (Il Saverio à Comblain) et de quelques bénévoles. « Dès que Tatam est venu me proposer l’idée, j’ai foncé. Je ne fais rien à la Noël alors autant m’occuper pour faire plaisir. Et vu que le souper ne peut pas être organisé, je prépare les repas ce mercredi. Il s’agit d’un filet de dinde avec de la purée et une poire aux airelles avec une sauce fine champagne puis comme dessert, une petite bûche en pâtisserie », détaille Rony, le gérant du hall et cuisinier.
Le CPAS de Durbuy est intervenu financièrement. « Et pour Hamoir, on a trouvé du sponsoring. Ils nous ont donné une liste de personnes âgées isolées mais j’en connais aussi beaucoup depuis plusieurs années. On doit se montrer solidaire avec les personnes âgées. L’objectif de l’opération est de montrer que ces personnes âgées, parfois qui ont plus de 90 ans, ne sont pas seules. Je vais devoir me discipliner pour ne pas trop djoser (parler) avec elles. Ma femme m’a proposé de prendre un sablier mais je ne sais pas si je saurai le respecter. Je distribuerai les repas avec mon bonnet de Père Noël. Je l’avais déjà fait il y a environ 20 ans avec le bourgmestre et un échevin de Hamoir aux côtés du Père Noël dans un quartier de Hamoir.
Le menu: filet de dinde, purée, poire aux airelles et sauce fine champagne avec une bûche en dessert. - D.R.
Noël est une fête chrétienne commémorant chaque année la naissance de Jésus de Nazareth, appelée Nativité, et célébrée le 25 décembre dans les calendriers grégorien et julien.
À l'origine, il existait à cette date des festivités païennes marquant le solstice d'hiver, symbole de la renaissance du soleil.
Au xxie siècle, la période entourant Noël (dite « période des fêtes » en contexte séculier) revêt un aspect largement profane et commercial et dans certains pays, le jour de Noël est férié.
Dans cet esprit, Noël devient une fête à connotation folklorique et caractérisée par un regroupement des cellules familiales autour d'un repas et d'un échange de cadeaux.
Source wikipedia
Le 25 décembre, jour de Noel, est le jour le plus court de l' année après cette date les jours se rallongent et le soleil renaît à nouveau..
Les couleurs traditionnelles de Noel sont bien sûr:
le rouge couleur de chaleur et de lumière et
le vert couleur des feuillages, de l'espérance, mariés à l'or du soleil.
Bon réveillon Joyeux Noël avec une pensée émue pour les personnes seules, malades ou tenues loin de leurs familles, que l'Esprit de Noël soit dans vos foyers tout au long de l année !!!!
Le veille de Noël entre 18 h et 19 h, La Une, RTL-TVI, Eén et VTM un programme unique visant à véhiculer un message d’espoir, de lumière et de connexion.
Le nombre de personnes actuellement hospitalisées pour cause de Covid-19 en Belgique s’établit à 2.473, dont 511 en soins intensifs (-11% par rapport à la période précédente), selon le rapport de l’Institut de santé publique Sciensano, publié jeudi. Du 17 au 23 décembre, 180,4 nouvelles admissions ont été enregistrées par jour en moyenne, soit une baisse de 2% par rapport à la période de calcul précédente.
Le nombre moyen d’infections quotidiennes au Sars-Cov-2 poursuit lui sa hausse, bien que ralentie depuis plusieurs jours, avec 2.522 nouveaux cas quotidiens sur la période du 14 au 20 décembre (+6%).
Le nombre de cas augmente partout, principalement en région bruxelloise (+21%) et à l’exception du Hainaut (-7%), de la province du Luxembourg (-2%) et dans le Brabant flamand (-2%). Au moins 632.321 cas de Covid-19 ont été diagnostiqués en Belgique depuis le début de l’épidémie.
Entre le 17 et 23 décembre, 1.263 patients avec Covid-19 confirmés ont été hospitalisés tandis que 1.329 personnes ont quitté l’hôpital. Mercredi, 2.473 lits étaient occupés par des patients Covid (-234 lits), dont 511 en soins intensifs. Parmi ceux-ci, 300 patients nécessitaient une assistance respiratoire et 45 une ECMO.
Depuis le début de l’épidémie, 34,5% des patients hospitalisés présentaient une maladie cardiovasculaire, 24% du diabète, 15,8% une maladie pulmonaire chronique, 11.8% de l’obésité, 13,9% une maladie rénale chronique et 9,5% un «cancer solide», souligne Sciensano dans son rapport.
Entre le 14 et le 20 décembre, 642 décès ont été rapportés, ou 91,7 par jour en moyenne (-3,3%), pour un total de 18.939 depuis le mois de mars.
Le nombre de décès toutes causes confondues a par ailleurs considérablement augmenté depuis la semaine 43, du 19 au 25 octobre, avec 6.800 décès supplémentaires, ajoute Sciensano. Cela représente 46% d’excès de mortalité. Le phénomène est particulièrement remarqué en Wallonie depuis la semaine 43 (71% d’excès de mortalité), contre 31% en Flandre et 49% à Bruxelles. En semaine 49 (semaine du 30/11), on note toujours une surmortalité mais en baisse dans toutes les régions. Le pic des décès toutes causes confondues est intervenu le 7 novembre (559), et le 10 novembre pour les décès Covid (218).
Du 14 au 20 décembre toujours, 38.663 tests par jour en moyenne ont été réalisés, pour un taux de positivité de 7,6%.
L’incidence du 7 au 20 décembre s’élève, quant à elle, à 299,1 nouveaux cas pour 100.000 habitants (+9%).
Le taux de reproduction du virus était de 0,983 entre le 17 et 23 décembre.
L'histoire s'ouvre une veille de Noël brumeuse dans « un froid vif et perçant », exactement sept années après la mort de Jacob Marley, l'associé d'Ebenezer Scrooge, ce « vieux pécheur … avare qui savait saisir fortement, arracher, tordre, pressurer, gratter, ne point lâcher surtout !
Dur et tranchant comme une pierre à fusil dont jamais l’acier n’a fait jaillir une étincelle généreuse, secret, renfermé en lui-même et solitaire comme une huître ».
Scrooge ne connaît ni la bonté, ni la bienveillance, ni la charité, et il déteste Noël qu'il qualifie de « foutaises » (humbug).
Toujours assis à son bureau, le feu réduit à quelques braises, il n'a cure du froid qui oblige pourtant son employé Bob Cratchit, aussi surmené que mal payé, à se réchauffer les doigts à la flamme de la bougie.
Son allure glaciale frigorifie le pauvre commis plus que ne le font les éléments ; d'ailleurs, ne vient-il pas de refuser l'invitation à dîner de son neveu, chasser un jeune garçon venu chanter un cantique à sa porte, puis vertement se débarrasser de deux messieurs sollicitant un don pour un repas de fête destiné aux pauvres, ces inutiles dont la mort réglerait le problème de la surpopulation.
Le seul cadeau maigrement consenti a été de donner un jour de congé à Bob Cratchit, et encore, se convainc-t-il, pour satisfaire à une inique convention sociale, une « pauvre excuse pour mettre la main dans la poche d’un homme tous les 25 décembre, dit-il en boutonnant sa redingote jusqu'au menton.
Mais je suppose qu’il vous faut la journée tout entière ; tâchez au moins de m’en dédommager en venant de bonne heure après-demain matin ». Bob se réjouit pourtant de cette misère car il entend dignement fêter Noël avec sa famille en puisant sur ses 15 shillings hebdomadaires.
« Ça s’est très bien déroulé », se réjouit la bourgmestre Caroline Cassart. « On était avec les conseillers communaux, les conseillers CPAS et les membres du conseil des aînés.
244 adresses étaient concernées par la distribution. Cette année, il n’y a pas eu d’activités organisées pour préserver les aînés, pas de goûters, pas de barbecues, pas d’excursions… On a voulu avoir une attention particulière en cette fin d’année avec les sous qui n’ont pas été dépensés ».
Depuis quelques jours, Véronique est abasourdie et anéantie. Elle a retrouvé son fils, Fabien dit Benjamin, âgé de 30 ans avec de multiples blessures sur le corps : coups au visage, vertèbres et cervicales fracturées.
Il y a plus d’un an, Véronique a placé son fils au sein d’une maison de soins psychiatriques, l’Entre D’eux à Nandrin, où sont prises en charge des personnes adultes atteintes d’un handicap mental profond. Depuis sa naissance, son fils est lourdement handicapé et souffre d’une microcéphale. Mais cette maman était à mille lieues de penser qu’un jour elle allait retrouver son fils dans cet état.
« Benjamin souffre de crises d’épilepsie. Il suit un traitement médical assez lourd. Chaque jour, il doit prendre un médicament pour atténuer ces crises. Il avait normalement un rendez-vous en urgence chez le neurologue au CHU, prévu le 30 novembre dernier. Mais le centre qui devait s’en charger ne l’a jamais amené », explique-t-elle.
Dimanche il y a une semaine, Véronique se rend au sein de l’institution pour l’anniversaire de son fils. Tout allait bien. Quatre jours plus tard, après avoir été contactée par l’établissement, elle le découvre avec de multiples contusions sur le corps. Un des membres du personnel l’avait contacté pour prévenir que Benjamin tombait de plus en plus. Très vite, Véronique se rend compte que quelque chose ne tourne pas rond. « Pour une raison que j’ignore, ils ont arrêté ses médicaments pour l’épilepsie. On lui donnait uniquement une fois par semaine au lieu de tous les jours. Ce qui provoquait ses chutes et ses absences. J’ai demandé qu’on appelle une ambulance car la maison de soins disait qu’il n’y avait pas besoin. Il a été transféré à l’hôpital et là-bas, on a découvert qu’il souffrait de fractures au nez et qu’il avait les vertèbres et cervicales fracturées », poursuit-elle.
Rapidement, Véronique pointe du doigt l’Entre D’eux à Nandrin. Selon cette maman, ils sont responsables de l’état de santé actuel de Benjamin. « J’ai porté plainte à la police pour négligence. Si on avait donné les médicaments comme c’était prévu, il ne serait pas là où il est maintenant avec une minerve et un corset. Sachant que Benjamin est atteint d’une microcéphale, il ne peut donc pas avoir de coups à la tête. De plus, pour eux, ce n’était pas nécessaire d’appeler une ambulance ».
Peu de temps après son arrivée à l’hôpital, Benjamin a dû être transféré aux soins intensifs durant trois jours. Mais il ne peut être opéré. « L’opération est trop dangereuse car la moelle épinière est proche et il y a un risque de paralysie. Il va devoir être alité durant six à huit semaines et il va évidemment être placé dans un nouveau centre. C’est hors de question qu’il retourne à Nandrin. Depuis qu’il est là, son état s’est dégradé. Déjà en été, il avait dû être hospitalisé pour déshydratation… Depuis qu’il est là-bas, il a perdu 30 kilos. Cela commence à faire beaucoup. Je n’avais pas eu le choix que de le laisser là, faute de places dans d’autres institutions ».
Véronique aimerait reprendre son fils à domicile mais cela requiert d’une assistance permanente et d’aménagements dans la maison, ce qui est impossible. « Les médecins parlent de lui mettre une sonde à l’estomac. J’aimerais le reprendre chez moi mais il ne peut pas aller aux toilettes seul. Il arrache les sondes, ce n’est pas possible. Cela me rend triste car j’ai eu mon fils pendant 28 ans avec moi… Pour une maman, je vous assure que c’est dur », conclut Véronique qui ne va pas en rester là.
De notre côté, nous avons contacté l’établissement de l’Entre D’eux à Nandrin pour obtenir des explications mais la directrice s’est refusée à tout commentaire.
Claudia a travaillé à l’Entre D’eux à Nandrin mais elle a décidé de quitter l’institution. Aujourd’hui, elle accepte de témoigner sous couvert d’anonymat. Ce qui est arrivé à Benjamin, cela ne l’étonne pas. « Il y a un des bâtiments qui n’est pas isolé. Il fait assez froid dans les chambres. C’est déjà arrivé que, quand il n’y a plus de gants de toilette, on lave les résidents avec des chaussettes dans une petite douche. D’ailleurs, les dames avant d’être lavées, doivent attendre nues dans la salle à manger », déclare-t-elle.
Choquée par ce qu’elle voyait, Claudia a décidé de quitter la résidence. « Ce sont des personnes lourdement handicapées qui y sont. Je me souviens d’une résidente qui déchirait constamment ses habits. La direction a alors demandé en plein été de l’habiller avec un sac poubelle...Les gens sont livrés à eux-mêmes. J’ai décidé de quitter car il y a des choses humainement qu’il n’est pas possible d’accepter ».