Le CPAS peut aider pour la rentrée scolaire !!!

Deux gros dossiers vont marquer la rentrée judiciaire à Huy :
Le tribunal hutois se penchera également sur un dossier de moeurs le 25 septembre.
Trois policiers de la région hutoise et une quatrième personne sont poursuivis pour attentat à la pudeur et non-assistance à la victime.
Le 5 juin 2018, à Modave, une dame aurait été trainée à son domicile par deux policiers après une soirée chez un voisin.
L’un d’eux aurait exhibé son sexe pendant que le second la maintenait au sol.
Des voisins, qui avaient aperçu la scène, avaient alerté la zone de police du Condroz.
Le 23 septembre, l’auteur du Fort Chabrol à Wanze du 9 août 2017 comparaîtra devant le tribunal correctionnel de Huy.
L’homme s’était présenté armé chez un voisin, avec lequel il avait entretenu une relation sentimentale.
Le quinquagénaire avait alors ouvert le feu, blessant mortellement le chien de son ex-compagnon.
L’assaillant s’était par la suite retranché dans un grenier de son bâtiment, après avoir donné la mort à son propre chien, avant d’être interpellé par les unités spéciales de la police fédérale.
BE WAPP - Alors que les inscriptions battaient leur plein, il a été décidé, au regard des recommandations du Conseil National de Sécurité, de reporter cet événement annuel aux 24, 25, 26 et 27 septembre prochains.
Les inscriptions sont ouvertes via :
https://www.walloniepluspropre.be/grand-nettoyage-de-printemps/#inscriptions
En janvier dernier, Muriel Rorif faisait le grand saut afin de devenir son propre patron en ouvrant une boutique de prêt-à-porter à Huy.
Malheureusement, comme beaucoup de commerçants suite à la crise sanitaire, Muriel a cru voir son rêve s’écrouler.
Après avoir fermé à Huy, Bella Cosi renaît de ses cendres à Ouffet depuis le 1er août.
Le magasin de prêt-à-porter Bella Cosi venait à peine d’ouvrir, qu’en mars, le Covid contraignait Muriel à fermer sa boutique.
« J’ai moi-même été malade pendant plusieurs semaines ce qui fait que je n’ai pas pu mettre en place d’alternatives pour mon commerce. Quand nous avons pu rouvrir en juin, c’était une vraie catastrophe au point que j’ai souvent pensé tout arrêter », explique la gérante.
« J’habite du côté d’Ouffet et un jour totalement par hasard, on est tombé sur le bâtiment de l’ancien Brico situé rue Sauvenière. Il n’était pas à louer, mais j’ai tenté le tout pour le tout et ça a fonctionné ! »
Le 1er août, Muriel Rorif, désormais accompagnée de son mari, Serge Rovenne, a ainsi donné un second souffle à la boutique avec quelques nouveautés.
« Quand je me suis lancée, mon premier objectif était d’aider les femmes à prendre conscience de leur beauté, grâce à la mode et ce peu importe leur morphologie et leur style.
Aujourd’hui, je veux encore aller plus loin et sortir des sentiers traditionnels », continue l’Anthisnoise.
En effet, la philosophie de Bella Cosi est non seulement de proposer des vêtements pour tous, à prix raisonnable, mais aussi de contribuer au gain de confiance de sa clientèle.
« Pour moi, la mode doit rester accessible peu importe la taille et surtout doit sublimer toutes les silhouettes. De ce fait, en arrivant ici j’ai lancé une collection « coquette » allant du 38 au 52 ».
Muriel propose également une collection bohême qui rencontre un franc succès ainsi qu’un rayon homme classique et moderne, géré par Serge. « Niveau prix, on veut rester accessibles à tous.
On démarre à 5 euros jusqu’à 100 euros maximum ».
Et en ce qui concerne son déménagement, Muriel ne regrette rien. « Par ici, il n’y a pas de commerces similaires au mien, c’est moins urbain et il faut faire plus de route pour trouver des magasins.
Depuis mon ouverture, la boutique fonctionne vraiment bien ».
Bella Cosi est ouvert du mardi au samedi de 10h à 20h au 34 rue Sauvenière à Ouffet.
Actuellement et jusqu’à écoulement des stocks, la boutique propose des belles offres conjointes.
Plus d’informations via la page Facebook Bella Cosi.
Article et rédaction Par La.Ma
Bella Cosi, prêts à porter féminin, accessoires, chaussures, bijoux...
Ouvert dès ce 1er août et exceptionnellement ce dimanche 2 août de 10h30 à 14h30
Rue Sauvenière 34 à 4590 ouffet
0471 76 34 57
Ce dimanche après-midi vers 16h, un incendie s’est déclaré dans un champ de Clavier-Les Avins.
« La récolte avait été effectuée. L’incendie s’est donc limité à environ 150 m².
Il semble que ce soit un petit feu de crasses le long du RAVeL qui se soit communiqué au champ.
Nous étions présents avec deux citernes 4X4 pour maîtriser l’incendie », précise un officier de la zone des pompiers hemeco.
Article et rédaction Marc Gérardy
Un marché public a été lancé pour concevoir une application mobile et un nouveau site web pour la commune. L’objectif est de moderniser l’ergonomie du site internet et proposer une appli inspirée du modèle d’Amay pour mieux informer les citoyens.
Le centre de Limont-Tavier a été placé en circulation locale de façon définitive.
Suite à des problèmes d’insécurité dans la rue Basse Voie, il avait été décidé de placer la zone en circulation locale à titre d’essai.
Face à l’amélioration, des mesures ont été adoptées et les plaques définitives seront installées rue Basse Voie, rue dèl Creû, Chemin du Sârtê et Chemin du Fostin.
La première modification budgétaire de 2020 a été votée.
Elle concerne essentiellement l’injection du boni du compte 2019 et quelques petites dépenses en matériel informatique.
Article de Pierre Tar
Un message de
C'était en 2018, Attention, le premier «radar-poubelle» débarque à Huy-Waremme!
Avez-vous été contrôlé depuis dans la zone Huy-Waremme ?
Cet outil mobile, dissimulé -comme son nom l’indique- dans une poubelle, peut également être placé sur un trépied ou un véhicule et dans des endroits jusqu’alors parfois inaccessibles pour la police.
Cet investissement présente les toutes dernières technologies en matière de radar.
Il est capable de suivre sur la circulation jusqu’à six bandes de circulation et ne « flashe pas », à proprement parler, puisqu’il est équipé d’un dispositif infrarouge, beaucoup plus discret.
Il dispose en réalité de deux « radars » : l’un va contrôler la vitesse, le second va se charger du ‘tracking‘ du véhicule, pour une marge d’erreur aujourd’hui quasi nulle.
« Ce dispositif se veut beaucoup plus anonyme. Dans les petits villages, les gens repèrent vite l’installation de notre radar mobile et la petite voiture bleue, via les réseaux sociaux notamment », souligne le chef de corps, le commissaire divisionnaire Jean-Pierre Doneux.
« L’objectif n’est pas de faire du chiffre et d’inonder le parquet de procès-verbaux.
Ce système de poubelle est l’occasion de vérifier objectivement la circulation et la vitesse opérée à certains endroits.
Mais aussi, préventivement, d’inciter les gens à lever le pied puisqu’ils sauront désormais, qu’à tout moment et chaque jour, le radar-poubelle peut être placé sur la zone et contrôler leur vitesse », ajoute-t-il.
« Mais il est clair aussi qu’au-delà de la dissuasion et de la prévention, un moment, il y a la répression qui entre en ligne de compte aussi pour la poursuite de l’un de nos objectifs prioritaires, à savoir la diminution de la vitesse, les accidents qui en découlent et, dès lors, la sécurité routière. Le préventif est toujours efficace mais, un moment, il faut savoir faire passer le message aussi aux fous du volant. D’ailleurs, les chiffres le prouvent nettement : là où il y a eu installation d’un radar fixe par exemple, les accidents ont clairement diminué à ces endroits. »
Ce radar-poubelle vient ainsi appuyer les autres dispositifs existants, notamment les deux radars qui circulent dans les 18 boîtiers fixes de la zone.
Cette dernière disposera aussi du Lidar de la police fédérale à huit reprises, cette année, sur son territoire. Enfin, sachez que si l’envie vous prenait de vous attaquer à cette nouvelle acquisition, une équipe policière est toujours placée à quelques mètres de son emplacement…
Article archive de 2018
Le 17 octobre 2020 organisation la fête au village avec les règles d hygiène qui s imposent .
Un moment de convivialité avec des jeux pour petits et grands , château gonflable , grimages , ping-pong , kiker , tir de boules scratch, tir de ballons dans des cibles, puissance 4 géant, petite restauration, crêpes, pop-corn , pains saucisses, un bar à bières spéciales, sans compter la musique et la bonne humeur...
Covid-19 oblige inscriptions souhaitées et réservations pour le pain saucisses à
Claude F 0495782521
Claire 0492949793 et Adeline 0494084446 ou sur Messenger,
Organisé par Claude Fagnoul, Claire Graulich et Adeline Rubini
Le PCS Condroz organise une nouvelle sortie culturelle :
- 14 septembre : Découverte nature à Tavier avec un guide Natagora
Toutes les informations en pièces jointes ou bien via https://sites.google.com/view/pcscondroz/nos-projets/sorties-culturelles-accessibles
Suite au succès rencontré sur la saison 2018-2019, l'opération Renov'Energie est reconduite en 2019-2020. Vous aussi, profitez-en !
Toutes les infos clic ici
L’opération RENOV’ENERGIE permet un accompagnement personnalisé et gratuit des citoyens, commerces et entreprises dans la rénovation énergétique de leurs bâtiments (isolation, chauffage, solaire, éclairage) en vue de réaliser des économies d’énergie, d’augmenter le confort, la valeur du bâti et la protection de l’environnement. Le tout de manière rentable, et en participant à l’économie locale!
Vous aussi, vous pouvez vous faire accompagner !
L’opération RENOV’ENERGIE permet un accompagnement personnalisé et gratuit des citoyens, commerces et entreprises dans la rénovation énergétique de leurs bâtiments (isolation, chauffage, solaire, éclairage) en vue de réaliser des économies d’énergie, d’augmenter le confort, la valeur du bâti et la protection de l’environnement. Le tout de manière rentable, et en participant à l’économie locale!
La Coopérative CORENOVE est partenaire du GAL dans ce projet.
https://www.galcondruses.be/realisations/renovenergie/
Asbl GAL Pays des Condruses : 085/27 46 14
Geoffroy Germeau – 0486/34.81.41 – geoffroy.germeau@galcondruses.be
Marc Wauthelet – 0474/83.47.82 – marc.wauthelet@galcondruses.be
CORENOVE scrl
Thierry Laureys : 0472/34 36 52 ; thierry.laureys@corenove.be
Daniel Comblin : 0470/07 29 35 ; daniel.comblin@corenove.be
Une rénovation énergétique peut permettre de faire des économies, tout en augmentant la valeur du bâti, le niveau de confort et la protection de l’environnement.
En effet, les anciens bâtiments du territoire sont encore trop souvent mal isolés et sujets à des pertes thermiques importantes. Ils sont encore trop peu équipés de systèmes de chauffage efficients ou de systèmes de production d’énergie adaptés. Ils sont responsables de 38% des consommations énergétiques à l’échelle de la Région wallonne[1], et de 33% à l’échelle du territoire du GAL Pays des Condruses[2]. Ils comptent pour 31% des émissions de CO2. Rappelons que plus de 80% de l’énergie que nous consommons sont importés !
Pourtant des technologies efficientes sont disponibles sur le marché, des entreprises qualifiées sont présentes sur le territoire, et des primes et solutions de prêts existent pour rendre viable des investissements. Les calculs montrent que des gains financiers de plus de 500 euros par an, et ce dès la première année sont possibles ! De plus, on estime que la rénovation énergétique des bâtiments wallons représente 30 milliards d’euros pouvant mobiliser 17.000 emplois sur les 30 prochaines années[3]. Il s’agit donc d’un secteur pouvant participer à un développement économique et local. Les démarches nécessaires pour aboutir à des réalisations de qualité sont toutefois souvent longues et complexes. C’est dans ce contexte que l’Opération RENVO’ENERGIE a été lancée.
Des réunions d’information communales ont été organisées en novembre 2019 à destination des citoyens, commerces et entreprises du territoire du GAL Pays des Condruses (PPT Corenove et PPT GAL).
une vidéo de présentation du projet vous est proposée ici :
Situé sur un piton rocheux qui domine de 60 mètres la vallée du Hoyoux, ce serpentin bucolique qui ondoie à travers le Condroz hutois, le Château de Modave offre, notamment à partir de sa terrasse restaurée, une vue exceptionnelle sur la nature environnante, qui constitue une réserve naturelle de 450 hectares.
Le saviez-vous ? Le château fut habité par de prestigieux propriétaires dont le comte de Marchin, à qui l’on doit
l’aspect actuel des lieux, mais aussi Maximilien-Henri de ou encore les familles de Montmorency, Lamarche,... Depuis 1941, le domaine est la propriété de Vivaqua (ex-Compagnie Intercommunale Bruxelloise des Eaux).
Edifié au Moyen Age, il a été partiellement détruit au milieu du XVIIe siècle, avant d’être restauré et doté d’une façade classique qui le transformera en une élégante demeure de plaisance, dont les jardins aménagés jadis à la française prolongent l’agrément.
Originalité, l’une des salles du château évoque la roue hydraulique construite à Modave au XVIIe siècle et attribuée à Renkin Sualem. C’est sans doute elle qui servit de modèle à la fameuse machine de Marly, destinée à remonter les eaux de la Seine jusqu’au Château de Versailles.
Lors de la visite, un audioguide disponible en huit langues permet à chaque visiteur de percer les secrets de plus de 25 salles de ce lieu unique, classé en 1993 « Patrimoine Majeur de Wallonie ».
Les jardins sont accessibles gratuitement durant les heures d’ouverture du domaine.
Port du masque obligatoire à l’intérieur du château, gel hydroalcoolique à disposition.
Vestiaire indisponible.
Possibilité d’acheter ses tickets sur place, mais paiement électronique souhaité.
Adresse : Rue du Parc, 4, à Modave.
085 41 13 69 // info@modave-castle.be
// www.modave-castle.be
Madame Anna PONCELET Veuve de Monsieur Joseph GEORIS
Domiciliée à Hamoir (4180)
Née à Nettinne (5377) le samedi 7 février 1931
Décédée à Petit-Han (6940) le samedi 29 août 2020 à l'âge de 89 ans
En mon nom et au nom de l'équipe du Blog de Nandrin , nous présentons nos plus sincères condoléances à la famille .
Tourisme Modave Marchin Clavier Tinlot
Activité à faire quand bon vous semble !
Appli pour smartphone disponible dès juillet.
vallée du Hoyoux, 6 B
4577 Modave
085 41 29 69
Tourisme Modave Marchin Clavier Tinlot
Monsieur Jacques RAMELOT Veuf de Madame Nicole VANDERHOEVEN
Domicilié à Marchin (4570, Belgique)
Né à Marchin (4570, Belgique) le lundi 6 mai 1946
Décédé à Huy (4500, Belgique) le samedi 29 août 2020 à l'âge de 74 ans
En mon nom et au nom de l'équipe du Blog de Nandrin , nous présentons nos plus sincères condoléances à la famille .
Les bois sont le terrain de prédilection des sportifs en tous genres. Cavaliers, joggeurs, vététistes, randonneurs... Parfois aussi motocyclistes et conducteurs de quads, bien que cela soit interdit. Un trafic qui dérange visiblement. Des fils barbelés ont ainsi été tendus sur certains sentiers des bois de Solières dans le but évident de piéger les passants.
« Ces bois d’une cruauté sans nom ont été le théâtre d’actes de malveillance particulièrement vicieuse, à savoir la disposition de fils barbelés… Les pièges ont été découverts par deux jeunes habitants de Huy (ville bien connue des amateurs de cyclisme, et plus particulièrement de la Flèche Wallonne) qui ont tenté d’avertir un maximum de personnes », rapporte le site spécialisé dans la course à pied, My Happy Run.
Après vérification, les photos notamment des blessures ensanglantées (sur les mollets, cuisses, mais aussi épaules et bras) n’ont pas été prises à Huy.
« C’est inadmissible, commente Eric Dosogne, échevin des travaux hutois. Cela arrive en plus régulièrement et de tous côtés, pas qu’à Huy. Il y a une volonté manifeste de nuire, de piéger les sportifs qui passent par là. Avec la vitesse, c’est dangereux, on pourrait même se tuer. Certes, des quads et motos n’ont pas le droit d’aller dans les bois mais de là à tendre des fils barbelés, non ! »
L’échevin n’était pas au courant de ces nouveaux faits. « On ne passe pas dans les bois tous les jours. Si des passants les voient, qu’ils les enlèvent tout de suite et qu’ils m’envoient un mail avec la localisation et photos si possible, afin d’en avertir le garde forestier qui mènera l’enquête. Mais il est très difficile de retrouver les auteurs de ce type de faits, reconnaît-il. A moins d’une dénonciation. »
L’échevin rappelle que les sentiers privés peuvent être fermés via des clôtures. Au contraire des sentiers publics, même ceux qui traversent des bois privés, qui doivent rester accessibles au public.
Bonne nouvelle pour les nageurs et nageuses.
Fermée depuis six mois, la piscine de Huy pourra à nouveau accueillir le public à partir du 14 septembre.
La décision est tombée ce vendredi après-midi.
« Nous avons fait le choix de rouvrir, après les différents sondages effectués auprès des écoles, des abonnés.
Elle sera rouverte à tout le public. Si au départ, nous envisagions de rouvrir le 7 septembre, nous avons décalé d’une semaine pour s’assurer d’une parfaite organisation par rapport au protocole sanitaire et au fonctionnement à mettre en œuvre », explique Etienne Roba, échevin en charge des sports à la Ville de Huy.
Ecoles, abonnés, clubs, tout public pourront à nouveau plonger dans le bassin hutois. Une nouvelle qui ravit l’échevin, qui s’impatientait de pouvoir rouvrir la piscine.
« Je suis très heureux de pouvoir reprendre. Nous voyons qu’au niveau des écoles, toutes ne sont pas encore prêtes à revenir mais il y en a quelques-unes qui adhèrent à ce nouveau mode de fonctionnement.
Je suis aussi très content pour les clubs, ils vont pouvoir reprendre les entraînements.
Le personnel qui était jusqu’ici en chômage économique va pouvoir également retrouver le travail », précise Etienne Roba.
Le protocole, imposé aux piscines reste malgré tout très contraignant. Le public aura accès au bassin, en respectant des normes sanitaires.
« Ce n’est pas une reprise en mode normal. Nous sommes limités à maximum 30 personnes dans le bassin.
Cette capacité est liée à l’infrastructure. Il y aura également du personnel qui veillera à faire respecter la distanciation sociale dans l’eau. Et les nageurs pourront venir à condition de réserver.
Une grille sera d’ailleurs bientôt disponible sur internet pour réserver et elle sera envoyée par courrier aux abonnés », indique l’échevin.
La durée maximum dans le bassin est fixée à une heure (déshabillage – nage – départ compris) pour permettre de désinfecter les parties communes entre chaque séance. Une désinfection régulière du personnel d’entretien est également prévue.
« Nous avons aussi prévu du matériel Covid pour pouvoir intervenir dans le cas où, il y aura un problème », conclut Etienne Roba, très heureux de cette décision.
Article par Par Amélie Dubois
Il y a quelques jours, Patrick de Decker expliquait qu’il vivait un calvaire depuis que la dame à qui, il avait confié son chien, ne voulait pas lui restituer.
Aujourd’hui, c’est au tour de la dog-sitter accusée du vol de « Brad », le terrier tibétain, de s’exprimer.
Et de justifier pourquoi, elle ne veut pas lui rendre son chien.
« L’année dernière, lorsque j’ai emménagé à Saint-Séverin j’ai rencontré Patrick lors d’une promenade.
Ce dernier m’a fait part de ses problèmes financiers et de la problématique pour garder son chien.
Il a expliqué que son chien était dans une famille d’accueil à cette époque mais qu’il était amaigri et que cela n’allait pas du tout.
Il pleurait et par souci de bienveillance, je lui ai proposé de garder son chien.
Mais dans un premier temps, cela devait durer deux mois et il devait intervenir pour les frais du chien », commence-t-elle.
Les semaines défilent et Nathalie continue de s’occuper de « Brad », comme si c’était son propre animal.
Mais la Nandrinoise est assez interpellée par la situation.
« Il venait voir son chien assez rarement.
« Brad » vivait avec moi, non stop.
Il m’a encore demandé de garder son chien pendant six mois mais je n’avais presque plus de ses nouvelles.
Il ne s’en souciait quasiment pas.
Je me suis pris d’affection pour l’animal.
Et pour qu’il puisse continuer à avoir un lien avec Brad, je lui proposais même d’aller se promener avec », continue Nathalie, attristée par la situation actuelle.
La Nandrinoise ne comprends pas pourquoi elle est accusée du vol.
« J’aidais monsieur dans un premier temps mais cette histoire a pris d’énormes proportions.
Je me suis rendu compte que le chien avait déjà été dans trois familles différentes avant la mienne.
Et il raconte à chaque fois que le chien est amaigri ».
Des plaintes ont été déposées de la part des deux parties.
L’affaire devrait se régler au tribunal d’ici quelques semaines.
Et en juin dernier, Nathalie et Patrick sont passés devant la justice de paix.
« Nous ne parvenions pas à trouver une entente.
La juge m’a alors dit que je pouvais garder le chien ».
Quoiqu’il en soit, Nathalie reste sur sa position et explique pourquoi elle ne veut pas rendre l’animal, à Patrick.
« Il m’a menacé, il m’a harcelé.
J’ai été violentée par des amis à lui et ils ont essayé de kidnappé Brad.
Il est devenu très agressif.
Si je ne veux pas lui rendre le chien, c’est simplement parce que je veux faire valoir le bien-être de Brad.
Il n’est pas apte à s’en occuper », conclut la Nandrinoise, qui espère malgré tout que la situation va s’adoucir.
Neuf établissements scolaires liégeois, tous réseaux et tous niveaux confondus, vont se partager près de 2,5 millions d’euros.
Le but.
Créer de nouvelles places dans les écoles.
Une manne débloquée par la fédération Wallonie-Bruxelles, et plus particulièrement par son ministre en charge des bâtiments scolaires, le Herstalien Frédéric Daerden.
« Un appel à projets est lancé chaque année, précise-t-on à son cabinet. Peuvent y répondre les écoles qui sont situées en zone de tension démographique. »
Dans le cadre du projet-pilote de prime de retour sur les canettes usagées, la commune d’Amay participe depuis 2019, en binôme avec la commune de Nandrin, à cette expérience d’une durée de 24 mois.
Le but de cette opération en faveur de la propreté publique est avant tout de dissuader l’abandon de déchets dans la nature et sur la voie publique, et de réduire leur nombre en encourageant le ramassage des canettes abandonnées.
Amay a commencé par la reprise manuelle la première année et va poursuivre cette année par la reprise des canettes à l’aide de la machine. Celle-ci sera opérationnelle dès septembre. « La machine va arriver cette semaine, et sera en principe accessible dès le 1er septembre », annonce Didier Marchandise, responsable du service Environnement de la commune amaytoise.
Mode d’emploi
Concrètement, chaque canette ramassée par un citoyen amaytois donne droit à une prime de retour de 5 centimes. Cette prime de retour se traduit par des bons d’achat à faire valoir dans les commerces locaux participants de la commune (un bon d’achat de 5 € est acquis après le dépôt de 100 canettes - avec un maximum autorisé de 200 canettes par mois pour les citoyens).
Les commerces partenaires de l’opération sont :
- La Maison Leroy, 91 chaussée de Liège à Ampsin
- Bureau Mélon sprl, 6 rue Paul Janson à Amay
- L’Amayson – Friterie - Restaurant, 19 Chaussee Roosevelt à Amay
- L'Ode - Brasserie-restaurant-bar à vin, 3 Place Ste Ode à Amay
- Opticien Lambotte P., 202 Chaussée de Tongres à Amay
Au service Environnement
Vous avez ramassé des canettes abandonnées ? Ramenez-les dans la machine de reprise (située devant le bâtiment du service Environnement, 67 rue de l’Industrie) accessible tous les jours (y compris les week-ends).
Pour bénéficier de la prime de retour, chaque déposant s’inscrit sur le site www.primeretour.be. Les bons seront adressés par BeWaPP par voie postale (2 au minimum pour limiter les frais d’envoi). Ce site permet de comptabiliser les canettes qui auront été rapportées et de commander des bons d’achat d’une valeur de 5€.
A Amay, la collecte manuelle a permis de récupérer plus de 10.000 canettes, comptabilise Didier Marchandise. « Elles ont été rapportées par une quinzaine de contributeurs réguliers », ajoute-t-il. Un beau et triste bilan à la fois. « C’est bien que des personnes se mobilisent pour ramasser ces déchets mais c’est dommage qu’elles le fassent parce que d’autres les jettent par terre... L’idéal serait que tout le monde dépose ses canettes dans une poubelle. »
L’avantage de la machine par rapport au comptage manuel est que les citoyens ne devront pas respecter les heures de permanence du service Environnement, puisque la machine est accessible tous les jours 24 heures sur 24 et qu’il ne faut plus attendre d’avoir un sac complet de 200 canettes pour venir les déposer.